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Alors que le nouveau grand établissement CentraleSupélec a été officiellement créé au 1er janvier 2015 (lire sur AEF), le JO du 4 janvier précise le montant des droits de scolarité qu’il appliquera au cours des trois prochaines rentrées. Une période de transition, avant la fusion des deux cursus ingénieurs, concernera les années 2015-2016 et 2016-2017 : pour les étudiants engagés dans le cursus Supélec, les droits s’élèveront à 2 570 euros par an ; pour les étudiants recrutés par Centrale, ceux qui sont "en cours de formation" à la date de publication du décret s’acquitteront de 620 euros, tandis que les "nouveaux inscrits" paieront 1 850 euros en 2015-2016 et 2 200 euros en 2016-2017. Enfin, à partir de la rentrée 2017, tous les élèves du nouvel établissement prépareront le même diplôme (CentraleSupélec) et financeront leurs études à hauteur de 2 570 euros par an.
Centrale Paris et Supélec annoncent, mardi 13 décembre 2011, franchir « une nouvelle étape dans leur alliance stratégique », à savoir la création d'une « association de préfiguration », « structure juridique ayant pour objet d'instruire et de proposer les modalités du rapprochement, en concertation avec tous les acteurs concernés ». Les deux écoles d'ingénieurs annoncent également la création d'une marque commune, « CentraleSupélec », « qui porte l'image de l'alliance au travers de l'association ». « Pour l'instant, les deux cursus d'ingénieurs et les deux diplômes sont conservés, car ils sont bien identifiés et qu'il n'est pas question de détruire de la valeur », souligne Hervé Biausser, directeur de Centrale Paris. En revanche, l'association de préfiguration a pour vocation d'étudier « les questions relatives à la gouvernance, au modèle économique, au contrat quinquennal unique avec l'État, aux statuts juridiques futurs et à l'organisation » de l'alliance à l'horizon 2015. « Nous devrions savoir où on va courant 2012, de manière à pouvoir écrire le projet en 2013 et à l'appliquer en 2015 », précise Hervé Biausser, qui évoque le modèle des alliances « Air France KLM » ou « Renault Nissan ».