En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
L’Aeres salue la complémentarité des stratégies régionale et catalane de l’université de Perpignan Via Domitia (UPVD) dans son rapport d’évaluation daté de novembre 2014 (1). "La structuration en cours de la Comue illustre un nouvel esprit de collaboration régionale", relèvent les évaluateurs. Le comité se dit cependant "réservé" sur l’intérêt du réseau catalan, même s’il constate que l’UPVD "n’utilise plus la dimension catalane de manière conflictuelle" et "positionne de facon singulière une université inscrite dans son temps et son histoire". En 2011, l’agence notait "l’isolement" de l’établissement et la faiblesse de son "positionnement au plan régional et national". "C’est une bonne photographie de l’établissement et c’est un constat que nous avions également fait en interne", déclare Fabrice Lorente, président de l’université à AEF, le 1er décembre 2014.
À partir de janvier 2015, une douzaine de chercheurs de l’IRD (Institut de recherche pour le développement)
L’université de Perpignan Via Domitia propose à neuf enseignants et enseignants-chercheurs un "contrat enseignant pédagogie innovante" : en échange d’une décharge de 96 heures équivalent TD, ils s’engagent à concevoir des enseignements innovants pour la prochaine rentrée universitaire. "Nous avons voulu valoriser les missions d’enseignement comme peuvent l’être celles de recherche avec le CRCT (congé pour recherches ou conversions thématiques)", explique Pascale Amiot, vice-présidente formation de l’UPVD, à AEF le 11 septembre 2014. Ce programme, inscrit dans le cadre du projet d’établissement 2014-2019, a pour objectif de "repenser et replacer l’enseignement au cœur des métiers de l’université". Il est accompagné par l’organisation de modules de formation mensuels et de conférences ouvertes à l’ensemble des enseignants.
« Le site de Montpellier-Perpignan présente seulement 36 % d'écoles notées A+/A contre 64 % évaluées B/C », note l'Aeres (Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur) dans la « synthèse des évaluations des écoles doctorales réalisées en 2009-2010 dans le cadre de la vague A de contractualisation 2011-2014 », rendue publique mardi 28 juin 2011. « Ce point peut en partie s'expliquer par les faiblesses relevées sur le suivi et l'insertion des doctorants », précise l'agence, pour qui cette exception mise à part, « la répartition des notations (…) est relativement homogène » pour les autres sites de la vague, à savoir Bordeaux-Pau (82 % de A+ et de A), Toulouse (93 %), Lyon-Saint-Étienne (86 %) et Grenoble-Chambéry (79 %).
« Je vais me retirer du PRES Université Montpellier Sud de France dans sa version actuelle », déclare à AEF jeudi 27 janvier 2011, Jean Benkhélil, président de l'université Perpignan Via Domitia. « Il ne m'apporte rien et me coûte cher [l'UPVD contribue à hauteur de 15 000 euros par an au PRES UMSF]. » Il refuse également que les enseignants-chercheurs perpignanais signent leurs publications du label « PRES UMSF ». « Actuellement, le PRES n'a plus qu'une mission, le plan campus, puisque les trois universités montpelliéraines ont abandonné la fusion. Or, Perpignan n'est pas dans l'opération campus », rappelle-t-il. Il se dit prêt, en revanche, à rejoindre le « PRES nouvelle formule », proposé dans le cadre de l'idex (AEF n°251648), si l'université de Perpignan est « considérée comme un vrai partenaire » et « en tenant compte du fait que l'UPVD est dans un 'pool' d'universités catalanes » (1) (AEF n°272919).
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :