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Un quart des plus de 170 000 jeunes ayant mis en 2004 un terme à leur formation initiale avec le seul baccalauréat ont obtenu un nouveau diplôme en 2011, indique un document sur le site du Céreq, "Quand les bacheliers reprennent des études. Qui, pourquoi, comment, quels effets sur l’insertion ?" (novembre 2014) (1), réalisé à partir de l’enquête "Génération 2004" (2). 57 % des nouveaux diplômes "relèvent du supérieur". Les sortants de L1 et L2 qui reprennent des études sont plus diplômés au bout de 7 ans que les sortants du bac ou des filières STS-IUT. Mais ce sont les sortants de STS-IUT qui comptent la plus forte proportion de diplômes du supérieur au bout de 7 ans.
Bien que plus diplômés sous l’effet de la réforme LMD, les jeunes sortis de l’enseignement supérieur en 2010 sont plus souvent au chômage que leurs prédécesseurs sortis en 2004 après trois ans de vie active, indique le "Bref du Cereq" de septembre 2014, intitulé "Sortants sur supérieur : la hausse du niveau de formation n’empêche pas celle du chômage". Les sortants de STS et IUT ne sont pas épargnés par la crise. Autre constat : dans les filières professionnelles du supérieur court, l’apprentissage occupe "une place jamais atteinte". Cette note du Cereq précise les premiers résultats de son enquête "Génération 2010" publiée en avril 2014 (lire sur AEF).
"Même s’ils ne sont pas épargnés, les diplômés du supérieur long accentuent leur avantage en matière d’accès à l’emploi et de conditions d’emploi", indique le Cereq mardi 8 avril 2014 en présentant les premiers résultats de son enquête "Génération 2010"
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.