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La plateforme RSE passe de 48 à 51 titulaires, selon le remaniement à la marge de sa composition par France Stratégie et le gouvernement, officialisée lors de la plénière élective mardi 25 novembre 2014. En outre, à travers le mécanisme des suppléants, 65 organisations sont désormais membres de l'instance de concertation et de réflexion placée auprès du Premier ministre. Comparée à la précédente mandature (lire sur AEF), une quinzaine d'entités y sont entrées et sept organisations en sont parties. Pierre-Yves Chanu (CGT) est élu président pour un an (lire sur AEF), et le bureau compte 14 membres : 4 pour le pôle économique, 3 pour la société civile, 3 pour les syndicats, 2 pour les pouvoirs publics et 2 pour les experts, ce qui donne accès pour ce dernier pôle, auparavant doté d'un seul représentant au bureau, au "droit de veto" aux élections à la présidence.
Pierre-Yves Chanu, conseiller confédéral de la CGT, est élu pour un an président de la plateforme RSE à l'issue de sa plénière élective mardi 25 novembre 2014. Hélène Valade (C3D), également candidate, et Michel Capron (FCRSE) demeurent vice-présidents pour la mandature. Selon un compromis sur lequel le bureau s'est accordé, les deux années suivantes, la présidence sera exercée par Hélène Valade au titre du pôle économique. La composition de l'instance de réflexion et de concertation de tous les acteurs réunis en cinq pôles (économique, experts, syndicats, ONG, pouvoirs publics), rattachée au Premier ministre, est également remodelée, avec notamment le renforcement du pôle des experts. Celui-ci compte désormais deux représentants au bureau au lieu d'un, et double le nombre de ses titulaires (en passant de 4 à 8), avec l'accueil des représentants des consultants tels que l'ADD.
La plateforme RSE a tenu sa plénière jeudi 9 octobre 2014. Le Premier ministre, auprès duquel l’instance de concertation et de réflexion constituée est placée et dont la présence était prévue, n’a finalement pas pu s’y rendre, reportant sa présence au colloque qu’organisera la plateforme le 17 novembre prochain. À l’occasion de cette plénière, les 48 organisations membres ont validé les rapports de trois de ses quatre groupes de travail, ainsi que son texte de référence sur la RSE. Les différentes parties prenantes avaient eu des difficultés à trouver un compromis sur ce texte. La question de la succession du président actuel Patrick Pierron, initialement élu au titre de la CFDT, est l’un des dossiers sur la table : outre les potentiels candidats qu’elle devra départager, la plateforme s’est fixée jusqu’à fin novembre pour réfléchir à sa gouvernance et proposer des évolutions.
Sherpa, Amnesty International France, CCFD-Terre solidaire, le collectif Éthique sur l’étiquette, Les Amis de la Terre, Peuples solidaires et la Ligue des droits de l’homme transmettent à Manuel Valls leur "feuille de route pour la deuxième année de fonctionnement de la plateforme RSE", dans une lettre datée du 18 septembre 2014 que s’est procurée AEF. Les 48 organisations membres de l’instance de concertation doivent en effet rencontrer le Premier ministre le 9 octobre prochain, à l’occasion de la plénière qui clôt la première année de fonctionnement de la plateforme. Soulignant le caractère "constructif" de cette première année, les ONG n’éludent pas les "tensions" entre les acteurs et appellent l’État à rester actif afin de "procéder aux arbitrages nécessaires". Pour elles, la question du devoir de vigilance des sociétés mères et donneuses d’ordre "devrait être au cœur des travaux".
L’assemblée plénière de la plateforme RSE a réuni ses 48 organisations mardi 24 juin 2014, un an après avoir été installée par l’ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault au sein du CGSP le 17 juin 2013 (lire sur AEF). Les rapports intermédiaires des trois groupes de travail de l’instance de concertation ont été présentés et ont reçu un "bon accueil", estime auprès d’AEF son président Patrick Pierron. Devoir de vigilance des entreprises, PME, reporting et ISR font l'objet de préconisations, et un groupe sur les achats publics responsables est créé. En revanche, la rédaction d’un texte fondateur sur la RSE achoppe sur la question de la compétitivité, une "task force" ayant été réunie pour faire aboutir les discussions durant l’été. La plateforme a par ailleurs été reçue par les services de Manuel Valls, en vue d'une plénière en septembre où le Premier ministre devrait être présent.