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Les associations partenaires de l’école présentent vendredi 28 novembre 2014 "cinq axes pour réussir la refondation de l’école". À l’occasion des deux ans de la loi, elles suggèrent "d’accentuer les efforts" sur la place des parents, l’innovation pédagogique, la formation, la scolarité obligatoire et l’accompagnement des collectivités. Pour favoriser l’innovation pédagogique par exemple, les associations suggèrent de "revoir le cadre dans lequel l’institution valorise ces innovations", à travers notamment la redéfinition de l’article 34 et des corps d’inspection mais aussi la mise en place systématique d’une évaluation des pratiques. Les associations demandent aussi l’organisation chaque année d’une "conférence nationale sur l’éducation", qui serait adossée à des "comités locaux pour l’éducation".
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"Sommes-nous en train de revenir vers le modèle scolaro-centré ?" s’interroge le SEP-Unsa dans un communiqué du 30 avril 2014, suite à l’annonce du projet de décret "portant autorisation d’expérimentations relatives à l’organisation des rythmes scolaires" (lire sur AEF). Le syndicat de l’éducation populaire regrette ainsi "que le levier des PEDT n’ait pas été conservé comme le cadre de réalisation de ces expérimentations". Le Cape souhaite aussi que ces "expérimentations s’inscrivent à moyen terme dans des démarches de projets éducatifs territoriaux". Le collectif estime que "ce projet de décret s’inscrit dans les objectifs fixés concernant l’aménagement des rythmes scolaires" dans la mesure où il "apporte la possibilité d’adaptations, à titre expérimental [et] prévoit que ces expérimentations ne pourront se mettre en place qu’avec l’accord de toute la communauté éducative […]".
À cause des désaccords entre universités sur la création des Espé « on est passé à côté de discussions sur un projet, des objectifs pédagogiques, pour être dans des 'guéguerres' de territoire », regrette Anne Sabatini, responsable nationale du secteur école des Ceméa, lors de son audition par la mission d'information sur les Espé au Sénat le 4 février 2014. Les associations partenaires de l'école ont eu « du mal parfois à être impliquées dans ce processus de mise en place » des Espé, explique-t-elle. « Nos équipes sur les territoires ont eu parfois des difficultés à trouver des portes entrouvertes. Il a fallu faire preuve de pugnacité pour prendre notre place dans ces nouvelles écoles. » Les représentants du Cape auditionnés rappellent qu'ils disposent d'une « expertise » sur certains sujets comme la formation des tuteurs et le travail en équipe (AEF n°201595).
La liste des membres du Conseil national de l'innovation pour la réussite éducative est publiée au BO du 18 avril 2013. Le Conseil doit être installé vendredi 19 avril en présence de Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale et de George Pau-Langevin, ministre déléguée chargée de la Réussite éducative (AEF n°192928). Il sera présidé par Didier Lapeyronnie, professeur de sociologie (AEF n°192992).
« Nous accueillons de façon positive le projet de loi mais nous craignons, comme pour la loi de 1989, qu'elle soit peu appliquée », déclare à AEF jeudi 13 décembre 2012, Bruno Chichignoud, président du Cape (Collectif des associations partenaires de l'école publique). La loi d'orientation sur l'éducation du 10 juillet 1989 (1) « avait beaucoup d'aspects positifs mais qui n'ont pas tous été appliqués », estime-t-il. Le collectif salue les « avancées » du projet de loi d'orientation concernant « les rythmes, le numérique ou le projet éducatif local ». « Le fait de mettre autour de la table les différents acteurs, c'est un vrai progrès », souligne Bruno Chichignoud. Il observe néanmoins que les « sujets les plus délicats ont été différés », comme celui des « missions des enseignants ». « Nous aurions voulu une loi plus ambitieuse », déclare le président du collectif, qui précise que les associations complémentaires restent « prêtes à se mettre au travail pour avancer ».
« Au sein des futures Espé (écoles supérieures du professorat et de l'éducation), il faudra imaginer des temps communs et des passerelles entre tous les métiers de l'éducation », indique à AEF Bruno Chichignoud, président du Cape (Collectif des associations partenaires de l'école) à la sortie d'une rencontre avec le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, vendredi 19 octobre 2012. Les associations demandent au ministre d'intégrer dans les futures Espé le secteur associatif et le mouvement pédagogique. Des « modules communs de formation permettant une culture de base » entre tous les intervenants pourraient être créés dans ces écoles, « afin de renforcer le travail en équipe pluridisciplinaire » dans les établissements scolaires. Des représentants de syndicats, de collectivités, de lycéens et de parents ont été reçus aussi cette semaine en vue de la préparation de la loi d'orientation et de programmation pour l'école (AEF n°204613). Les consultations sur l'avant-projet de loi se poursuivent cette semaine.
Les huit associations (1) complémentaires de l'école ont signé lundi 29 novembre 2010 une nouvelle CPO (convention pluriannuelle d'objectifs) sur trois ans avec le ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative, indique à AEF Alain Dubroca directeur général de la Ligue de l'Enseignement, qui coordonne le Cape (collectif des associations partenaires de l'école publique). Cette signature suit l'annonce de Luc Chatel lors du salon européen de l'éducation (AEF n°141228). La CPO prévoit une baisse de 14,25 % des financements accordés par le ministère en 2011 par rapport à 2010, une baisse que déplorent les associations (AEF n°254705 ). Cette baisse doit cependant être rééquilibrée en 2012 et 2013.