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L'Afpa a désigné le 30 octobre 2014 les chefs de projet chargés de proposer une organisation interne adaptée aux futures super-régions. Leur mission ? Construire d’ici au printemps 2015 "un plan d’évolution de l’offre" qui, s’il est validé, s’appliquera en 2016. L’optimisation devrait surtout concerner les formations à recrutement national et celles liées à l’industrie mais peu l’offre de proximité tournée vers le bâtiment et les services, répond le 3 novembre 2014 à l'AEF Fabienne Roger, DR Aquitaine et préfiguratrice de la zone Aquitaine/Limousin/Poitou-Charentes. À cette nouvelle échelle, la chef de projet voudrait aussi décliner des antennes locales et des plateaux techniques partagés avec d’autres organismes, la polyvalence des formateurs et des "bonnes pratiques" comme la FOAD (testée à Limoges, Brive et Guéret) et l’accueil d’apprentis, pratiqué en Aquitaine depuis 2012.
"L’acte II du plan de refondation de l’Afpa est rendu nécessaire en raison du contexte macroéconomique et aussi des effets de l’acte I", explique le président de l’organisme de formation, Yves Barou, à l’occasion d’une conférence de presse, jeudi 16 octobre 2014. Deux ans après le lancement de son "plan de refondation" destiné à lui permettre de revenir à l’équilibre budgétaire d’ici à 2017, l’Afpa se voit contrainte de revoir le contenu de ce plan d’action pour atténuer les effets d’une conjoncture moins favorable que prévu. L’acte II du plan de refondation porte principalement sur l’organisation territoriale de l’Afpa et la structure de son offre. Yves Barou écarte l’idée d’un plan social tout en soulignant que "les efforts consentis depuis deux ans [seront] poursuivis". En parallèle, l’Afpa négocie avec l’État l’octroi de "financements complémentaires".