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La maire de Paris, Anne Hidalgo, a défendu lundi 20 octobre 2014, son projet de budget pour 2015 devant le conseil de Paris. Celui-ci prévoit 130 à 180 millions d’euros d’économies via notamment la réduction du nombre d’adjoints et de collaborateurs d’élus et la diminution des charges de fonctionnement courant de l’administration. Par ailleurs, les dépenses de dispositifs municipaux "seront optimisées tout en maintenant la qualité [des] services publics". Selon l’élue, ces efforts seront "rendus possibles par la réforme de l’administration" et "la maîtrise des dépenses de personnel", qui sera poursuivie en 2015. La présidente du groupe UMP au conseil de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, critique l’augmentation du nombre d’agents de la ville.
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"Dans un contexte budgétaire difficile, la maîtrise de la masse salariale et des emplois est un enjeu prioritaire pour l’ensemble de la mandature", énonce Anne Hidalgo, la maire de Paris, dans la feuille de route qu’elle a adressée à son adjoint chargé des ressources humaines, des services publics et de la modernisation de l’administration, Emmanuel Grégoire, et mise en ligne lundi 26 mai 2014. Celui-ci devra travailler "rapidement à l’identification des leviers" permettant cette maîtrise. Un agenda social sera également "défini annuellement" à partir de 2015, dont les thèmes (logement, action sociale, mobilité, reconversions) pourront déboucher sur des accords-cadres "négociés avec les organisations syndicales". Il devra aussi moderniser le fonctionnement interne de l’administration.
Simplifier l’organisation pour la rendre plus efficace et réduire les coûts, améliorer l’accessibilité en renforçant notamment les services numériques et réaliser 32 millions d’euros d’économies en réduisant les équipes et les moyens des élus. Lundi 19 mai 2014, la nouvelle maire PS de Paris, Anne Hidalgo, a présenté au cours de son premier Conseil de Paris les grands axes de sa réforme de l’administration parisienne. Le détail des économies issues de ce plan n’a pas été précisé sachant que d’autres mesures de baisse des dépenses devraient être décidées dans le cadre du budget 2015 du fait de la diminution des dotations de l’État aux collectivités.
Le taux global d'absence au travail des agents de la Ville de Paris a progressé de 1,23 point entre 2007 et 2009 pour atteindre 10,94 %. C'est ce que pointe notamment la CRC (Chambre régionale des comptes) d'Île-de-France dans un rapport sur « la gestion prévisionnelle des ressources humaines de la ville de Paris » sur les exercices 2002 et suivants, publié mardi 26 mars 2013. Selon les données 2009 du bilan social prises en compte par ce rapport, qui évoque « la poursuite de l'aggravation du phénomène », « le taux des absences compressibles est ainsi passé de 5,19 % en 2002 à 6,14 % en 2009, suivant une progression quasi linéaire. Les absences pour maladie ordinaire sont en augmentation, de même que celles liées aux accidents du travail ». Conséquence, relève la CRC, « en 2011, le nombre de jours ouvrés perdus s'élève à plus de 1,15 million, soit environ 20 jours par an et par agent de la commune et du département ».
Le conseil municipal de la ville de Paris a adopté lundi 25 mars 2013 le plan pluriannuel d'accès à l'emploi titulaire (2e commission), dossier prioritaire de l'ordre du jour. Tous les groupes politiques (1) ont voté pour à l'exception de l'UDI (Union des démocrates et indépendants) qui s'est abstenue. Lors du comité technique central du 19 mars, sur les sept organisations syndicales présentes, trois ont voté favorablement, trois se sont abstenues et une n'a pas pris part au vote. L'exposé des motifs du projet de délibération du maire de Paris rappelle que « cette mesure est engagée sur une base volontaire de la collectivité parisienne puisque la loi du 12 mars 2012 prévoit seulement la possibilité de faire accéder des agents contractuels à la titularisation en fonction de ses besoins et de ses ressources ».