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"La formation des enseignants est un objet commun qui doit se réaliser au travers des Espé. La question du rattachement aux Comue doit être envisagée en évitant un isolement et un éloignement de la communauté universitaire." C’est l’une des 10 propositions de la CPU, publiée à l’issue de son colloque sur la formation des enseignants, le 9 octobre 2014 à Paris. "Les universités sont prêtes à assurer la formation de tous les enseignants et personnels de l’éducation en formation initiale et continue", affirme la conférence. En écho à l’un des chantiers que souhaite ouvrir la secrétaire d’État chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, la CPU estime que la recherche en éducation doit être considérée comme "un axe stratégique de la recherche scientifique". La recherche-action et la poursuite en études doctorales des étudiants issus des masters Meef doivent aussi être développées.
Malgré l'"urgence" et des "délais contraints", les instances de gouvernance des Espé ont été créées et "le résultat est là", estiment l’IGEN et l’IGAENR dans un rapport dont AEF a obtenu une copie, intitulé "La mise en place des Espé"
La Dgesip présente, dans un document de travail daté du 30 septembre qu’AEF s’est procuré, les évolutions du modèle d’allocation des moyens des établissements d’enseignement supérieur qu’elle envisage pour le budget 2015. Le nouveau modèle "conforte la globalisation des moyens des établissements et respecte leur autonomie budgétaire. Il fonctionne en référence à des clés de répartition pour chacun des indicateurs retenus." L’un des principaux changements apportés au modèle Sympa, mis en place depuis 2008, est l’intégration dans le modèle, en plus du fonctionnement, de la masse salariale. La Dgesip propose d’en "sanctuariser" 70 % et d’en "réinterroger" 30 % au regard des indicateurs d’activité et de performance, qu’elle souhaite aussi faire évoluer. Ces premières pistes seront soumises la semaine prochaine à la CPU et la Cdefi et un modèle stabilisé devrait être présenté en novembre.