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Voici, en bref, une sélection d’informations sur l’innovation :Alcatel-Lucent inaugure sa Cité de l’innovation à Nozay (Essonne) ;Bilan du fonds Innobio, cinq ans après sa création ;la région Poitou-Charentes va investir 10 M€ par an dans l’innovation.
Dès 2013, « l'essentiel de l'effort financier régional pour le soutien à la recherche en matière de bourses de doctorat, de bourses de chercheurs invités, d'acquisition d'équipements de laboratoires et de financement de programmes spécifiques sera fléché vers des projets s'inscrivant dans 16 axes stratégiques », annonce la région Poitou-Charentes. Cette décision décline le schéma régional pour l'enseignement supérieur et la recherche, voté l'an dernier, qui prévoit de cibler entre 70 % et 80 % des financements de la collectivité sur des pôles représentant à la fois « une excellence scientifique à préserver » et un potentiel de développement pour le tissu économique régional. Dans son budget primitif 2013, la région a prévu de consacrer 9,93 millions d'euros à la recherche, soit 67 % de ses crédits pour l'ESR, maintenant son enveloppe à l'euro près par rapport à 2012 (AEF n°220557).
« Le titre de docteur est le référent mondial, que ce soit aux États-Unis, en Chine ou en Inde. Auparavant, obtenir un doctorat était un plus, désormais, c'est un devoir. » C'est ce que déclare Jean-Luc Beylat, président d'Alcatel-Lucent Bell Labs France et du pôle de compétitivité Systematic Paris-Region, mardi 22 mai 2012. Il s'exprime lors d'une table ronde intitulée « Et maintenant ? Quand les entreprises s'engagent aux côtés des docteurs », tenue dans le cadre de la conférence-débat « les docteurs, l'atout gagnant des entreprises » organisée par le Medef, la CPU et l'ABG-Intelli'agence, au siège du Medef à Paris. « Il est fondamental que la France produise plus de docteurs, c'est un élément clé de la compétitivité de notre pays. C'est pourquoi les grandes écoles doivent pousser dans ce sens », poursuit Jean-Luc Beylat qui ajoute que « l'investissement initial placé sur un docteur se récupère largement après ».
« Ce fonds de 139 millions d'euros est un bon début mais reste insuffisant », déclare André Choulika, président de France Biotech, l'association des entrepreneurs en sciences de la vie, mercredi 28 octobre 2009, en réaction à la création du fonds d'investissement InnoBio dédié au développement d'entreprises innovantes dans le domaine des biotechnologies de santé (AEF n°288884). « Nous attendons que le FSI (Fonds stratégique d'investissement) aille plus loin et s'engage à travers des investissements directs plus importants afin de véritablement répondre aux enjeux et besoins de l'industrie des biotechnologies », ajoute-t-il.
Le nouveau fonds d'investissement dédié au développement d'entreprises innovantes dans le domaine des biotechnologies de santé « devrait être en mesure d'annoncer ses premiers investissements d'ici à la fin de l'année », indique le FSI (Fonds stratégique d'investissement), lundi 26 octobre 2009. Décidée le même jour lors d'une réunion du CSIS (Conseil stratégique des industries de santé, AEF n°289032), la création de ce fonds, baptisé InnoBio, associe pour l'instant le FSI et six laboratoires pharmaceutiques opérant sur le territoire national : Sanofi-Aventis, GlaxoSmithKline, Pfizer, Lilly, Novartis et Roche. « Il s'agit d'une initiative unique de partenariat public-privé, commente le FSI, qui pourra être élargie dans les prochains mois à d'autres partenaires, en vue d'augmenter les ressources du fonds. »