Politique de cookies
Le groupe AEF info utilise des cookies pour vous offrir une expérience utilisateur de qualité, mesurer l’audience, optimiser les fonctionnalités et vous proposer des contenus personnalisés. Avant de continuer votre navigation sur ce site, vous pouvez également choisir de modifier vos réglages en matière de cookies.
Politique de protection des données personnelles
En 2012, le projet "Nestlé needs Youth" (1) voit le jour lors de la réunion annuelle sur les priorités sociales du groupe en Europe. Destiné aux jeunes de moins de 30 ans, il vise à offrir 20 000 opportunités d’emploi au travers de l’apprentissage ou de stages sur la période 2014-2016. L’entreprise étend aujourd’hui son projet au niveau européen via l’initiative "Alliance pour la jeunesse", en lien avec la Commission européenne qui a lancé en juillet 2014 une "alliance européenne pour l’apprentissage" destinée à améliorer l’offre et la qualité des apprentissages en Europe. Près de 200 entreprises se seraient déjà engagées à accueillir quelque 100 000 jeunes dans les trois à quatre années à venir, indique le groupe, qui présentait le programme jeudi 18 septembre 2014 dans les locaux de son siège social suisse de Vevey. Parmi elles : Axa (lire sur AEF), Twitter, ou encore Adecco.
Que diriez-vous de découvrir nos services d’information en temps réel ainsi que les dossiers thématiques et les newsletters de nos rédactions ?
Nous vous invitons à formuler une demande de test pour accéder à AEF info.
Au cours des cinq prochaines années (2014-2018), Axa s’engage à aider les jeunes à entrer sur le marché du travail et franchir cette étape déterminante de leur parcours professionnel. Pour cela, le groupe va offrir à au moins 20 000 jeunes une expérience professionnelle dans ses différentes entités européennes : 10 000 offres d’emploi et 10 000 opportunités d’apprentissage et de stages. C’est ce qu’annonce l’assureur, mardi 24 juin 2014, lors de la visite du Premier ministre, Manuel Valls, au siège du groupe. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’opération "L’Alliance pour la jeunesse", lancée par Nestlé le 23 juin. "L’Alliance pour la jeunesse" rassemble des entreprises européennes déterminées à jouer un rôle moteur dans l’accompagnement des jeunes vers l’emploi.
« L'alliance européenne pour l'apprentissage », dont le but est d'appuyer « les réformes nationales visant à mettre en place ou à renforcer les programmes d'apprentissage », a été lancée mardi 2 juillet 2013, indique la Commission européenne dans un communiqué. Cette dernière entend encourager les pouvoirs publics, les entreprises et les partenaires sociaux des États membres de l'UE à « prendre des engagements fermes pour stimuler les financements publics et privés en faveur des programmes d'apprentissage ». En outre, les représentants des syndicats et des employeurs européens se sont engagés dans une déclaration commune à « propager les expériences et les bonnes pratiques au sein de leurs propres organisations » dans les six prochains mois.
Le groupe Suisse Nestlé annonce, jeudi 27 juin 2013, sa décision d' « aider au moins 20 000 personnes de moins de 30 ans à trouver un emploi en Europe » sur la période 2014-2015. Si cette initiative doit être détaillée en septembre prochain, le groupe agroalimentaire précise toutefois que l'aide qu'il proposera prendra la forme d'offres d'emploi, de contrats d'apprentissage ou d'offres de stages proposées à des jeunes de moins de 30 ans de tous niveaux de qualification. Environ la moitié des 20 000 personnes devraient ainsi se voir proposer une formation en apprentissage au sein d'une des entités du groupe. Nestlé affirme par ailleurs qu'il « encouragera également ses fournisseurs en Europe à offrir un emploi, une place d'apprenti ou un stage à des jeunes ».
« La Commission [européenne] mettra en place, au niveau de l'Union, une alliance pour l'apprentissage qui oeuvrera à l'avancement de ce projet et réunira les États membres et un éventail élargi de parties prenantes pour leur permettre de tirer, ensemble, les enseignements de leur expérience et d'alimenter leur action au niveau national. » C'est ce qu'annonce la Commission europénne dans un rapport intitulé « Repenser l'éducation - Investir dans les compétences pour de meilleurs résultats socio-économiques » et adressé au Parlement, au Conseil, au Comité économique et social et au Comité des régions européens. « L'investissement dans l'éducation et la formation pour le développement des compétences revêt un caractère fondamental pour la stimulation de la croissance, car ce sont les compétences qui déterminent la capacité de l'Europe à accroître sa productivité », précise la Commission en introduction de son rapport.