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74 emplois sur trois ans pour Sorbonne Paris Cité, 49 pour Paris Lumières, 45 pour Sorbonne Universités et 11 pour Paris Sciences et Lettres : tels sont les moyens attribués par l’État aux quatre Comue parisiennes qui ont signé leur contrat de site 2014-2018 au MENESR, le 17 juillet 2014, en présence des chefs d’établissement. "Les Comue ne sont pas une strate administrative supplémentaire, ni une façon de mutualiser pour faire des économies : c’est exactement l’inverse", déclare Geneviève Fioraso en conférence de presse. "C’est un outil qui doit permettre d’améliorer l’offre de formation à destination des étudiants, que nous voulons attirer en plus grand nombre, ainsi que leur insertion professionnelle." Ces quatre contrats de site sont les premiers signés depuis le vote de la loi sur l’ESR de juillet 2013, même si l’Alsace, la Lorraine et Avignon avaient été précurseurs (lire sur AEF).
Trois sites - Alsace (1), Lorraine (2) et Avignon - ont signé les premiers contrats de site 2013-2017 avec la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, mardi 4 juin 2013 à Paris. Les moyens injectés dans ces trois contrats s'élèvent à 8 millions d'euros sur cinq ans et 80 emplois en 2013, pris sur le contingent des 1 000 postes créés pour la réussite en licence. À terme, le ministère vise la signature d'une trentaine de contrats de site en France. Cette nouvelle modalité, qui vise à remplacer les quelque 100 contrats d'établissement existants aujourd'hui, figure dans le projet de loi enseignement supérieur et recherche et vise à favoriser la coopération sur un site, quelle que soit la forme de regroupement choisie, fusion, association ou fédération. Les moyens attribués dépendent des compétences transférées.