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La ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie a présenté, jeudi 10 juillet 2014, la stratégie nationale de gestion des risques d’inondation, dont l’élaboration avait été annoncée en juin 2013. Elle a pour objectifs d' "augmenter la sécurité des populations exposées", de "stabiliser à court terme et réduire à moyen terme, le coût des dommages liés à l’inondation" et enfin de "raccourcir fortement le délai de retour à la normale des territoires sinistrés". Pour cela, "un plan de gestion des risques d’inondation sera arrêté sur chaque grand bassin hydrographique par le préfet coordonnateur de bassin en association avec les parties prenantes d’ici fin 2015", indique le ministère. Ségolène Royal a en outre annoncé l’ouverture du portail internet Géorisques, qui regroupe près de 130 indicateurs géolocalisés sur les risques, notamment sur les inondations.
Philippe Martin, ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, a lancé la dernière phase de la consultation de la « stratégie nationale de gestion des risques d’inondation » en demandant la saisine du Comité national de l’eau, du Conseil d’orientation pour la prévention des risques naturels majeurs et du Conseil national de la mer et des littoraux, fait savoir le ministère jeudi 6 mars 2014. Cette étape permet de finaliser la concertation, déjà menée auprès du grand public, avant l’adoption de la stratégie au printemps 2014, précise le ministère. La stratégie, présentée en Conseil des ministres en juin 2013, vise à « renforcer la sécurité des personnes exposées, stabiliser sur le court terme, et réduire à moyen terme, le coût des dommages liés aux inondations » ainsi qu'à « raccourcir fortement le délai de retour à la normale des territoires sinistrés ».
Le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie met en ligne, vendredi 30 août 2013, la circulaire NOR : DEVP1320796C, « relative à l'élaboration des plans de gestion des risques d'inondation et à l'utilisation des cartes de risques pour les territoires à risque important d'inondation », datée du 14 août. Le texte, adressé pour exécution aux préfets coordonnateurs de bassin, préfets de région et préfets de départements (1), « vient compléter le cadre de la mise en oeuvre de la 'directive inondation' » et « vise à faciliter l'élaboration des plans de gestion des risques d'inondation qui en constituent l'aboutissement ».
Delphine Batho, ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, a présenté, mercredi 5 juin 2013 en Conseil des ministres, une communication relative à la « politique de l'État pour la prévention et l'anticipation des risques d'inondation ». Ainsi, le gouvernement « élabore actuellement avec les parties prenantes une stratégie nationale de gestion des risques d'inondation pour assurer la cohérence des actions menées en la matière, afficher les principes fondamentaux et dégager des priorités d'action à moyen et long terme », fait valoir la ministre, précisant qu' « après une phase de consultation à l'été, cette stratégie nationale sera approuvée à l'automne 2013 ». En outre, elle annonce la tenue les 2 et 3 décembre 2013 d'assises nationales des risques naturels. Par ailleurs, le Conseil des ministres a acté plusieurs nominations de préfets.
La CMI (1) a émis le 12 juillet 2012 un « avis favorable à la labellisation et au financement de quinze programmes d'actions de prévention des inondations », annonce le MEDDE lundi 16 juillet, précisant que « onze Papi et quatre PSR ont été validés » (2). Ces programmes « représentent un montant total de 167 millions d'euros avec une participation de l'État d'environ 67 millions d'euros », ajoute le ministère. Globalement, la CMI pilote 34 programmes représentant « un montant total de 460 millions d'euros avec une participation de l'État d'environ 170 millions d'euros ».