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Les universités d’Auvergne Clermont-I (UDA) et Blaise-Pascal Clermont-II (UBP) ont adopté, respectivement les 8 et 4 juillet 2014, le document stratégique qui décrit la fusion des deux établissements afin de créer une université unique "de plein exercice" au 1er janvier 2017. Annoncée en septembre 2013 (lire sur AEF), la fusion de l’UDA et de l’UBP doit donner naissance à un établissement unique de 32 000 étudiants (dont 5 400 étrangers), 1 300 enseignants-chercheurs et 1 600 personnels administratifs, pour un budget de 300 millions d’euros. Dans un entretien à AEF le 10 juillet, les présidents Philippe Dulbecco et Mathias Bernard reviennent sur la structuration par cinq "collegia" thématiques, l’organisation de la politique de site et les questions d’équilibre budgétaire, ainsi que sur leur projet d’IEP.
Le conseil d'administration de l'université d'Auvergne (Clermont-I) a adopté ses nouveaux statuts le 3 octobre 2013. C'est, dit-elle, la première université qui se met ainsi en conformité avec la loi ESR du 22 juillet 2013 (AEF n°185782), sachant que les établissements ont un an pour modifier leurs statuts (AEF n°182629). Les membres du CA restent élus jusqu'à la fin de leur mandat, en décembre 2015. « Mais l'université réalise ce qui est applicable immédiatement : le conseil académique s'est déjà réuni par exemple », décrit Philippe Dulbecco, président de l'établissement. Outre la composition du CA et du conseil académique, les statuts précisent la place des composantes et créent un « comité de gouvernance ».
Les universités UDA (Auvergne Clermont-I) et UBP (Blaise-Pascal Clermont-II) annoncent leur choix d'une fusion d'ici la fin de l'année 2016, le 20 septembre 2013. L'université unique ainsi créée sera « chef de file pour le contrat de site » et proposera des associations aux autres établissements du site. « Nous ne pouvons pas avoir à la fois une université fusionnée et une communauté d'universités et d'établissements, cela rajouterait de la complexité », estiment les deux présidents. Les universités clermontoises souhaitent « s'inspirer des fusions déjà réalisées sur d'autres sites » pour définir « les points stratégiques et techniques, à travailler avant et après la fusion ». Les présidents évoquent également la question du dialogue social et de la dévolution du patrimoine immobilier dans le cadre de cette fusion.
L'UdA (université d'Auvergne) Clermont-I prépare pour la rentrée 2012 une restructuration de son domaine droit-économie-gestion, avec la mise en place « d'un socle de licence commun, à orientation progressive » et de trois écoles universitaires, « issues du regroupement de cinq structures préexistantes (UFR, instituts ou départements) ». « Il s'agit de regrouper les forces scientifiques et pédagogiques afin de faire du site clermontois une référence dans ce domaine », explique à AEF Philippe Dulbecco, président de l'université. Selon lui, cette réorganisation « n'a pas d'équivalent en France, avec trois disciplines et la totalité du parcours LMD concernée ». Le projet était présenté dans le cadre de l'appel « idefi » (initiatives d'excellence en formations innovantes), mais il n'a pas été sélectionné en février 2012 (AEF n°220864). Il doit par ailleurs être examiné par le Cneser le 19 mars (AEF n°219157).
L’Opco Akto et l’Agefiph ont signé le 24 juin 2022 une convention régionale destinée à faciliter l’accès à l’emploi des personnes handicapées en Normandie. Cette déclinaison d’un partenariat national consiste aussi à sécuriser les parcours professionnels. Elle prévoit cinq grandes actions : "informer, outiller et professionnaliser les entreprises" ; "développer les qualifications des publics par la formation" ; "favoriser l’intégration des demandeurs d’emploi" ; "favoriser le maintien de l’emploi" ; "accompagner les politiques des branches". La Normandie a expérimenté, avec les régions Grand Est, Paca et Nouvelle-Aquitaine, le dispositif "Réussi’TH" qui s’est traduit l’année dernière par l’accompagnement de 61 personnes en situation de handicap vers l’emploi et la formation.