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"Nous sommes convaincus que l’objectif présidentiel de rénover 500 000 logements par an ne se gagnera pas si on ne 'donne pas la main' aux territoires", affirme Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable, mardi 27 mai 2014 lors d’une conférence organisée avec Le Moniteur dans le cadre des "rendez-vous" du Plan. À cette occasion trois régions, la Franche-Comté, l’Aquitaine et la Bretagne reviennent sur le déploiement du Plan dans leurs territoires : articulation avec le PREH, ingénierie financière, choix de la philosophie sous-jacente et des publics cibles… chaque plan présente des spécificités territoriales.
Se centrer davantage sur les territoires ; se pencher sur la perception qu’a un propriétaire de l’ensemble des étapes liées à la performance énergétique ; ouvrir encore le champ de la réflexion sur la RBR 2020 ; rendre les professionnels du bâtiment "opérationnels ensemble" en matière de rénovation énergétique. Telles sont les quatre orientations pour 2014 du Plan Bâtiment Durable, présentées par son président, Philippe Pelletier, à l’occasion de sa 15e assemblée générale, mardi 8 avril 2014. Philippe Pelletier entend par ailleurs faire remonter aux deux nouvelles ministres du Logement et de l’Écologie l’urgence de la signature de la convention Feebat et de la publication du décret relatif à l’éco-conditionnalité des prêts à la certification RGE des professionnels. Il note encore que 2014 sera "l’année du démarrage" en matière de rénovation énergétique des copropriétés.
Le groupe de travail "BIM (Bâtiment et informations modélisés) et gestion du patrimoine", lancé à l’été 2013 sous l’égide du Plan Bâtiment Durable, remet ce jeudi 27 mars 2014 son rapport final. Après avoir réuni "entre 200 et 300 personnes qui ont travaillé pendant neuf mois", ainsi que l’explique Jérôme Gatier, directeur du Plan Bâtiment Durable, ce groupe formule quatre propositions : créer une sorte de "carte vitale" pour le bâtiment, créer un environnement qui favorise le BIM, mobiliser la puissance publique pour la cause, et enfin créer une charte d’engagement volontaire pour les acteurs du bâtiment.
« Du côté du neuf, la généralisation en début d'année de la réglementation thermique 2012 marque définitivement la construction : bâtiments trois fois mieux isolés, matériaux et équipements performants, […] métiers du bâtiment qui jouent collectif pour relever ce défi à coût maîtrisé », tandis que « du côté du parc existant, si l'action de rénovation énergétique ne s'est pas encore relancée à grande échelle, que de progrès [ont] été accomplis ! » se réjouit Philippe Pelletier, président du Plan bâtiment durable, en préambule du rapport d'activité 2013 de ce dernier, publié vendredi 31 janvier 2014. L'organisation y dresse un bilan positif, donc, des initiatives lancées en 2013, et dévoile les grandes lignes de son programme pour 2014. Avec pour ambition principale de peser dans la préparation du projet de loi pour la transition énergétique, attendu en conseil des ministres au printemps (AEF Habitat et Urbanisme n°474207).
Le Plan bâtiment durable rend public, lundi 18 novembre 2013, son rapport « Explorer l'obligation de rénovation énergétique dans le secteur résidentiel », attendu depuis juin dernier. Co-piloté par Jacques Chanut, vice-président de la FFB, et Raphaël Claustre, directeur de l'association Cler (réseau pour la transition énergétique), il préconise de « transformer le DPE en audit avant et après travaux lorsqu'un financement public important intervient », de créer un document de suivi de l'entretien du bâtiment et d'y insérer, dans la durée, une planification des travaux à opérer sur le bâti. Par ailleurs, l'évolution nécessaire de la RT pour les bâtiments existants « devra faire l'objet d'une concertation spécifique menée par l'administration et associant l'ensemble des acteurs impliqués » et dans un calendrier compatible avec l'obligation de transposition de la directive européenne.