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La mise en œuvre des Comue "impacte la documentation et l'information scientifique et technique, qui sont des leviers privilégiés de la mutualisation", mais l'hétérogénéité des systèmes d'information en place dans les établissements rend difficile "un bilan global de la documentation à l'échelle du site universitaire". C'est ce que souligne l’Inspection générale des bibliothèques dans son rapport annuel 2013 publié le 6 mai 2014. L'IGB livre ainsi des indicateurs utilisables dans ce contexte, et cohérents avec ceux "déjà mis en place dans la cadre de la LOLF ou d’autres dispositifs nationaux ou internationaux (tel U-Multirank au niveau européen)". Par ailleurs, l'inspection souligne que "le surenchérissement constant du coût de la documentation électronique, dont les effets se font encore plus durement sentir en ces temps de restrictions budgétaires", représente un "point préoccupant".
« Malgré quelques avancées dans les bibliothèques de santé et dans quelques établissements pionniers, il reste encore beaucoup à faire pour que les bibliothèques proposent des horaires adaptés à tous leurs publics. » C'est le constat dressé par l'IGB (Inspection générale des bibliothèques) dans un rapport rendu public en décembre 2012 sur « l'extension des horaires d'ouverture des bibliothèques », remis en novembre dernier à la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso, et à la ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti. L'IGB souligne que son rapport « met en évidence l'écart qui doit être impérativement comblé entre des investissements souvent très lourds et une offre de services consécutive sans commune mesure avec les dépenses initiales ».
« En France, il convient de renforcer la coordination entre universités et organismes de recherche, dans le cadre d'un dispositif national d'accès à l'IST doté d'une visibilité budgétaire, s'appuyant sur des indicateurs d'évaluation globale des coûts et de l'usage des ressources électroniques », indique le rapport annuel 2010 de l'IGB (Inspection générale des bibliothèques), présenté vendredi 17 juin 2011. A cet égard, Dominique Arot, doyen de l'IGB, signale qu'un travail est en cours « dans la prolongation du rapport sur la documentation électronique » publié en novembre 2010 (AEF n°255241), pour « une analyse plus économique » de la mutualisation des achats de ressources électronique. Ce prochain rapport, conduit par Pierre Carbone, vise à « évaluer plus précisément les gains issus de la mutualisation pour aider à faire les choix » politiques.