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"Nous sommes en train de travailler sur des réductions d’effectif et je vais dissoudre un certain nombre d’unités", affirme la générale de brigade Isabelle Guion de Méritens, commandante de la gendarmerie maritime (lire sur AEF), mardi 6 mai 2014. Elle s’exprimait à l’occasion d’une conférence organisée par l’Anaj-IHEDN à Paris. "La réorganisation à venir de nos unités est directement liée à la loi de programmation militaire. La gendarmerie maritime participera à l’effort demandé à la marine nationale en termes de réduction d’effectifs", précise-t-elle. Isabelle Guion de Méritens détaille en outre les "différents enjeux et défis auxquels doit faire face la gendarmerie maritime". Elle pointe notamment "certaines fragilités juridiques" qui rendent plus difficile le travail des unités et évoque le rôle de la gendarmerie maritime face à la "recrudescence des actes de piraterie".
L’Assemblée nationale adopte le projet de loi relatif aux activités privées de protection des navires, dans la nuit du mardi 29 avril 2014. Le texte voté interdit la sous-traitance. Il fixe à trois le nombre minimum d’agents pour garantir la protection d’un navire. Le projet de loi interdit désormais aux sociétés de mentionner le statut d’ancien militaire ou ancien policier sur les documents publicitaires, contrairement aux dispositions votées en commissions (lire sur AEF). Il ne prévoit pas le paiement de la "taxe Cnaps" pour les entreprises de protection des navires, comme cela avait été adopté en commission de la Défense (lire sur AEF).
Frédéric Cuvillier, ministre délégué chargé des Transports et de la Mer, présente un projet de loi visant à autoriser et à encadrer le recours à des entreprises privées de protection à bord des navires français dans les zones les plus exposées à la piraterie, vendredi 3 janvier 2014, en conseil des ministres. « L'accès au secteur sera rigoureusement encadré par la mise en place d'une autorisation similaire à celle existant pour les activités de protection exercées à terre », comme le trransport de fonds, explique le ministère, dans un document de présentation. Selon Frédéric Cuvillier, « entre 400 et 500 emplois » seront crées pour sécuriser les navires.