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Une session plénière extraordinaire du Comité national de la recherche scientifique se tiendra le 11 juin 2014 à Paris, avec l'objectif de demander au gouvernement de s'engager sur un "plan pluriannuel pour l'emploi scientifique". Cette réunion fait suite à un "diagnostic approfondi de l'évolution de l'emploi scientifique en France" que le conseil scientifique du CNRS a publié en mars dernier (lire sur AEF). En avril, Bruno Chaudret, président du conseil scientifique, Philippe Büttgen, président de la CPCN (Conférence des présidents du Comité national) et Sophie Duchesne, coordinatrice de la C3N (Coordination des responsables des instances du Comité national), avaient appelé l'ensemble du personnel de l'organisme et des membres du CoNRS à se mobiliser sur la question, tout en s'activant pour obtenir la convocation de cette séance plénière (lire sur AEF).
"La montée en puissance des stages post-doctoraux ces dernières années a conduit dans certaines disciplines à des séjours de plus en plus fréquents à l’étranger après la thèse", constate une étude de l’Apec et de l’Irédu (Institut de recherche sur l’éducation) sur "La mobilité internationale des diplômés de doctorat français", publiée fin avril 2014. Pour autant, les deux enquêtes quantitatives sur lesquelles s’appuie l’étude montrent qu'il est "difficile d’assimiler ces départs à l’étranger à un phénomène généralisé de 'fuite des cerveaux' ". "Majoritairement, les jeunes docteurs partent à l’étranger parce qu’ils ont des difficultés à trouver un emploi en France", soulignent les auteurs, ajoutant que "c’est également la raison qui explique le prolongement de leur expatriation".
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".