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WorldSkills France (ex Cofom), chargé de l’organisation des Olympiades des métiers en France, et l’entreprise spécialisée dans les revêtements de sol Tarkett France ont signé, le 8 avril 2014, une convention de partenariat qui entérine "l’entrée du métier de solier-moquettiste" au sein des Olympiades des métiers. Au travers de ce partenariat, l’entreprise s’engage à accompagner les jeunes apprentis, alternants et lycéens professionnels "sélectionnés pour le métier de solier au niveau régional et national, en leur fournissant le matériel indispensable à leurs épreuves mais aussi en leur permettant de se préparer au mieux". Ce partenariat intervient alors que les épreuves de sélections régionales ont débuté en vue des finales nationales qui auront lieu en janvier 2015 à Strasbourg, puis des 43èmes Olympiades des métiers de Sao-Paulo (Brésil) au mois d’août suivant.
Après 19 mois passés au cabinet de Michel Sapin, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, Daniel Vatant, conseiller technique en charge de "apprentissage" vient de quitter son poste pour rejoindre le Cofom (Comité français des olympiades des métiers)
« La France va se porter candidate à l'organisation du concours international des métiers 2019 », indique à l'AEF Michel Guisembert, président de WorldSkills France (ex-Cofom) (1), en marge de la 42e édition de cette manifestation qui se déroule à Leipzig (Allemagne) du 3 au 7 juillet 2013. Pour lui, cette candidature doit permettre à tous les acteurs de « se mettre en route vers cette échéance qui doit servir à valoriser les métiers et les formations professionnelles ». À l'occasion d'un point presse, organisé le 5 juillet à Leipzig, Michel Guisembert fait également part de son intention de demander au président de la République de déclarer la formation professionnelle « grande cause nationale » dans les prochains années.
Un syndicat non-signataire du protocole d’accord préélectoral mais affilié à une fédération ou à une union de syndicats qui a signé ce PAP, qu’elle soit ou non représentative, ne peut contester la validité de ce protocole. Dès lors, le syndicat ne peut demander l’annulation à ce titre des élections professionnelles dans l’entreprise. C’est ce que considère la Cour de cassation dans un arrêt publié du 22 mars 2023.