En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
L'UES Capgemini pérennise le télétravail au sein du groupe, deux ans et demi après la signature d'un premier accord le 20 juillet 2011, initialement conclu pour deux ans. Le nouvel accord, présenté comme un « avenant à l'accord sur le télétravail du 20 juillet 2011 », a été signé le 10 décembre 2013 par les cinq syndicats de l'UES (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO), tout comme l'accord initial. En revanche, le nouveau texte a été conclu pour une durée indéterminée. Parmi les principales nouveautés introduites par cet avenant, le télétravail peut être désormais porté à trois jours par semaine, contre un maximum de deux jours prévu dans l'accord initial. En conséquence, la durée de présence sur le site de rattachement du salarié ou sur le site du client peut être réduite jusqu'à deux jours par semaine.
Siemens France étend la possibilité d'accéder au télétravail à la plupart des salariés du groupe, avec la signature d'un accord sur « la mise en place du travail au domicile ». Le texte a été signé par les quatre syndicats du groupe en France (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT) le 17 décembre 2013. Ce déploiement quasi-généralisé du télétravail à domicile s'inscrit dans le cadre d'un projet de réorganisation interne des espaces de travail, appelé Siemens Office. Particularité de l'accord conclu pour une durée de deux ans : la possibilité de travailler à domicile une journée par semaine sera désormais prévue dans tous les contrats de travail des nouveaux salariés embauchés.
Les syndicats de Steria ont reçu de la direction de l'entreprise, lundi 16 décembre 2013, un projet d'accord sur la mise en place du télétravail ouvert à la signature. FO et le syndicat d'entreprise Steria Avenir ont d'ores et déjà indiqué leur intention de signer le texte « pour répondre à une demande forte des salariés ». La CGT a indiqué qu'elle ne devrait pas signer pas le texte invoquant notamment « une absence de réel contrôle de la charge de travail et une prise en charge insuffisante des frais ». La signature de l'accord sur le télétravail intervient au moment où la direction de Steria négocie avec les syndicats un projet d'accord sur compétitivité avec l'objectif de réaliser 20 millions d'euros d'économie sur les dépenses de masse salariale du groupe, qui compte 6 400 salariés en France. La négociation du projet d'accord télétravail est achevée depuis la fin juin 2013.
Le CCE d'Astrium doit se prononcer, mercredi 27 novembre 2013, sur le projet d'accord relatif au télétravail négocié au cours du second semestre 2013 dans l'entreprise. Il s'agit du premier texte sur le télétravail pour Astrium, activité satellite du groupe EADS. Selon les informations d'AEF, la CFE-CGC, premier syndicat de l'entreprise avec 30,6 % des voix, et la CFTC ont d'ores et déjà fait savoir qu'elles signeraient le texte. Parmi les éléments novateurs de l'accord, la possibilité offerte aux salariés concernés de travailler depuis des télécentres obligatoirement situés dans des locaux du groupe EADS. L'accord prévoit également le droit au télétravail partiel, pour les femmes enceintes volontaires, à compter de leur troisième mois de grossesse.
L'UES (unité économique et sociale) Capgemini finalise la négociation d'un accord sur le télétravail. Cet accord permet jusqu'à deux jours de télétravail par semaine pour le salarié volontaire et éligible. Toutefois un passage à trois jours sera mis à l'étude à l'occasion d'un bilan « trois mois avant la date de fin de l'accord », précise le texte. La dernière réunion de négociation est prévue pour le 12 juillet 2011. Ce projet de texte a déjà été présenté au CCE (comité central d'entreprise) le 16 juin 2011 et cette ultime séance de négociation devrait seulement porter sur quelques ajustements. « Ce projet d'accord sur le télétravail répond à une demande des salariés mais également au souhait de l'entreprise », indique à l'AEF Marc Veyron, directeur des affaires sociales du groupe Capgemini. « Nous espérons fortement la signature de cet accord par les syndicats car il s'agit d'un axe important pour notre UES ». Dans son préambule, le texte met en avant la volonté de l'entreprise de « réduire les problèmes et la pénibilité des trajets quotidiens », de « réduire son empreinte carbone », de « faciliter la vie des salariés lors des différentes étapes de leur parcours et de leur vie personnelle/familiale, notamment pour le retour d'un congé maternité »...