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Le Comité Richelieu et l’ensemble des Satt signent une convention de partenariat dans le cadre des RUE (rencontres universités-entreprises), organisées par AEF à Paris, jeudi 20 mars 2014. L’objectif est de "collaborer pour générer des innovations d’avenir, de la création de richesse économique et des emplois en France et en Europe". Les deux parties s’engagent à : "faciliter et accélérer les démarches juridiques entre les EIC (entreprises d’innovation et de croissance) et les laboratoires publics" ; "rédiger et partager un guide des bonnes pratiques réciproques" ; "mieux détecter les besoins des entreprises et faciliter leur implication en amont dans des projets de maturation afin d’assurer la pertinence des investissements des Satt au regard de la problématique industrielle" ; "accélérer le transfert de ces innovations vers les EIC".
La Satt Conectus Alsace et l'ASRC (Association des structures de recherche sous contrat) signent une convention visant à « développer de nouveaux partenariats au service de la compétitivité des entreprises françaises », annoncent-elles, mardi 28 janvier 2014. Cet accord, d'une durée de trois ans, permettra « d'accroître la diffusion des technologies issues des laboratoires publics alsaciens vers les entreprises, notamment les PME et les ETI (entreprises de taille intermédiaire) ». « Nous avons une approche qui consiste à externaliser les projets de maturation que l'on finance. C'est pourquoi nous nous tournons vers des partenaires tels que les SRC », précise à AEF Nicolas Carboni, président de Conectus Alsace.
« Concentrer les aides à l'innovation sur les entreprises les plus prometteuses en adoptant un statut d'EIC (entreprise d'innovation et de croissance) » : telle est l'une des « trois mesures d'urgence » que proposent le Comité Richelieu et plusieurs associations et groupements professionnels (1), mardi 10 juillet 2012. « L'idée centrale est de concentrer les aides à l'innovation sur des entreprises réellement innovantes, c'est-à-dire créant de nouvelles formes de richesses et des emplois durables », précise l'association française des PME innovantes. Ce nouveau statut d'EIC, qui regroupe « dans une même entité » le statut de JEI (jeune entreprise innovante) et de gazelles (PME à « fort potentiel »), « permettra de clarifier l'environnement de l'innovateur et d'apporter une aide durable à l'entreprise pendant la longue période de lancement de l'innovation ». Le Comité Richelieu estime que cette mesure « concerne 20 000 à 30 000 entreprises » (AEF n°218046). Une enquête menée fin juin 2012 par le Comité Richelieu auprès de son réseau montre que « plus de 75 % des entreprises innovantes sont favorables au statut d'EIC ».