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La réforme de la formation prévue par la loi du 5 mars 2014 est jugée "intéressante" à la fois par les actifs et les dirigeants d’entreprise, selon les résultats d’une enquête réalisée par Opinionway pour le compte de l’Afpa. Les résultats, présentés mercredi 19 mars, montrent que si les salariés portent un intérêt équivalent à deux nouveaux dispositifs, le CPF et l'entretien professionnel, alors que les dirigeants d’entreprise sont pour leur part plus intéressés par l'entretien. Au-delà, l’étude met en avant une image plutôt positive du recours à la formation tout en pointant clairement les lacunes de l'offre, principalement en termes d’adaptation rapide aux besoins des utilisateurs. Par ailleurs, les dirigeants d’entreprises sont plutôt favorables à la prise en compte de la formation dans les contreparties du Pacte de responsabilité.
La loi n° 2014-288 du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l'emploi et à la démocratie sociale est publiée au Journal officiel du jeudi 6 mars 2014. Cette loi porte à la fois les réformes de la formation professionnelle (notamment pour ce qui est du financement et de la mise en oeuvre du CPF-compte personnel de formation), issues de l'accord national interprofessionnel du 14 décembre 2013, de l'apprentissage (avec en particulier la nouvelle répartition de la taxe d'apprentissage) et de la démocratie sociale (en particulier sur la représentativité patronale et le financement de la démocratie sociale). Après un examen en procédure accélérée, qui a notamment vu les parlementaires supprimer la réforme de l'inspection du travail initialement inscrite par le gouvernement dans le texte définitivement adopté par le Parlement les 26 et 27 février.
Conditions d’éligibilité, montants et durées d’indemnisation. Modes de financement. Ou encore répartition entre les services de l’accompagnement des demandeurs d’emploi d’une part et du versement de leurs allocations de l’autre. Parues en juin et juillet 2022, trois études réalisées par l’Unédic permettent de prendre connaissance des modalités de fonctionnement de l’assurance chômage au Danemark, en Finlande et en Suède. Signe particulier : partout, une part au moins de la couverture est soumise au volontariat des salariés et indépendants, libres d’adhérer ou non à une caisse d’assurance.