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AEF Développement durable a décidé de faire le tour de quelques grandes villes françaises pour tenter de dégager les principaux enjeux environnementaux et énergétiques locaux, à travers un bilan de la mandature 2008-2014, les dossiers polémiques et les programmes des candidats en lice. Neuvième et dernière étape : Lille et ses 227 533 habitants. Martine Aubry (PS) brigue un troisième mandat à la tête de la capitale des Flandres face à Jean-René Lecerf (UMP) et Lise Daleux (EELV), adjointe au maire à la petite enfance et à la famille. Outre les mobilités douces, le développement des espaces verts et le retour de la biodiversité, le principal point de discorde entre les listes reste la voiture et les embouteillages. Une congestion qui pose de sérieux problèmes de qualité de l’air.
AEF Développement durable a décidé de faire le tour de quelques grandes villes françaises pour tenter de dégager les principaux enjeux environnementaux et énergétiques locaux, à travers un bilan de la mandature 2008-2014, les dossiers polémiques et les programmes des candidats en lice. Septième étape : Lyon et ses 480 000 habitants. Que faire du milliard d’euros d’investissements prévu jusqu’en 2020 par le Sytral ? C’est tout l’enjeu des débats en matière de transports entre les candidats aux municipales de la ville dotée du deuxième réseau de transport de France après Paris. En effet, si le bilan du maire sortant en matière de transports en commun, plutôt conséquent, est globalement partagé, à droite comme à gauche, en revanche, les divergences se concentrent sur les grands investissements (métro, tramway), la place de la voiture en ville, et sur le projet de périphérique ouest.
AEF Développement durable a décidé de faire le tour de quelques grandes villes françaises pour tenter de dégager les principaux enjeux environnementaux et énergétiques locaux, à travers un bilan de la mandature 2008-2014, les dossiers polémiques et les programmes des candidats en lice. Sixième étape : Montpellier et ses 260 000 habitants. Dans cette ville à gauche depuis 1977, quatre candidats pourraient dépasser 10 % au premier tour et peser ainsi dans la composition du second tour. Dans ce jeu peu lisible, les candidats cherchent à se rendre audibles en soulignant les aspects médiatiques de leur programme. Ainsi, le 5 mars, Jean-Pierre Moure et les militants PS-EELV ont installé une mini centrale photovoltaïque place de la comédie, en plein centre-ville. Ils affichent ainsi leur engagement pour « la création d'une régie des énergies renouvelables » qui permettra à la ville « en 2026 de produire 100 % de l'énergie qu'elle consommera ». Mais les conditions sont encore floues. « Avec des panneaux photovoltaïque, de la biomasse. Il suffit d'avoir la volonté politique pour aller chercher cette énergie », estime Mustapha Majdoul (EELV).
AEF Développement durable a décidé de faire le tour de quelques grandes villes françaises pour tenter de dégager les principaux enjeux environnementaux et énergétiques locaux, à travers un bilan de la mandature 2008-2014, les dossiers polémiques et les programmes des candidats en lice. Cinquième étape : Brest et ses 140 000 habitants. Création d'un écoquartier, prix de la capitale française de la biodiversité dans la catégorie des intercommunalités, nouvelle version du PLU facteur 4, ambitions fortes pour la filière des énergies marines renouvelables… Ces derniers temps, Brest s'est fait remarquer sur le plan environnemental. Mais un sujet anime toujours les discussions : le tramway en service depuis 2012. Si la majorité socialiste veut donner plus de place aux transports en commun avec la création d'une deuxième ligne, l'opposition veut, elle, créer du stationnement. Un sujet qui est loin des principales préoccupations de Bretagne vivante. L'association s'inquiète du sort réservé à la vallée du Restic.
AEF Développement durable a décidé de faire le tour de quelques grandes villes françaises pour tenter de dégager les principaux enjeux environnementaux et énergétiques locaux, à travers un bilan de la mandature 2008-2014, les dossiers polémiques et les programmes des candidats en lice. Quatrième étape après Nantes (AEF n°476448), Bordeaux (AEF n°18890) et Strasbourg (AEF n°18879) : Marseille et ses 860 000 habitants. Les élections municipales opposeront notamment en mars 2014 le maire sortant UMP, Jean-Claude Gaudin, au candidat socialiste, Patrick Mennucci, soutenu par EELV. Les transports seront l'enjeu principal, ainsi que le parc national des calanques et la gestion des espaces verts.
À l'occasion des élections municipales qui se dérouleront les 23 et 30 mars prochains, AEF Développement durable a décidé de faire le tour de quelques grandes villes françaises pour tenter de dégager les principaux enjeux environnementaux et énergétiques locaux, à travers un bilan de la mandature 2008-2014, les dossiers polémiques et les programmes des candidats en lice. Troisième étape après Bordeaux (AEF n°18890) et Strasbourg (AEF n°18879) : Nantes et ses 285 000 habitants. Trois acteurs politiques nantais ainsi que FNE Pays de la Loire reviennent sur les dossiers environnementaux ayant marqué, durant la mandature actuelle, la ville de Nantes, élue capitale verte européenne en 2013. Parmi les sujets sensibles figure Notre-Dame-des-Landes. Si ce dossier divise toujours, les candidats s'accordent, en revanche, sur deux priorités : les transports en commun et la transition énergétique. Chacun avance ses idées pour que la sixième ville de France s'affiche comme « la ville des courtes-distances », « plus verte » et « éco-responsable ».