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La proportion d’entreprises ayant mis en place peu d’actions en faveur du développement durable augmente, pour atteindre 53,1 % en 2013, révèle l’agence allemande de notation extrafinancière Oekom, qui publie jeudi 13 mars 2014 son étude annuelle sur l’évaluation de 3 000 grandes entreprises issues de 50 pays. L’étude, qui note les entreprises par secteur ainsi que les pays, estime que 16,8 % des entreprises présentent un "bon niveau d’engagement" au développement durable, soit une augmentation de 0,1 % par rapport à 2012. Trois groupes français arrivent en tête de classement pour leur secteur : Renault, L’Oréal, Accor. Par pays, c’est la Finlande suivie de l’Allemagne qui comptabilisent le plus grand nombre d’entreprises ayant le statut "prime" d’Oekom, signifiant qu’elles respectent les exigences minimales de durabilité spécifiques à leurs secteurs.
L'agriculture et la pêche durables aussi bien que la gestion durable de l'eau figurent parmi les enjeux clés du secteur agroalimentaire, estime l'agence extrafinancière allemande Oekom, qui présente vendredi 7 février les résultats récents de sa notation du secteur. « La réduction de l'emploi de pesticides ou l'augmentation de l'efficacité hydrique sur tout le cycle de vie du produit » font partie des solutions recherchées par Oekom. Le secteur « compte aussi parmi les émetteurs de gaz à effet de serre importants et doit prendre des engagements importants. En outre, la santé des consommateurs demande aux entreprises la mise en place de systèmes d'information sur les valeurs nutritionnelles et sur une production des aliments plus sûre et plus saine. » Concernant le processus de production, « les problèmes sociaux au sein des chaînes d'approvisionnement sont particulièrement préoccupants dans les pays en développement et représentent un réel défi. »
« Seule une entreprise sur six (16,7 %) évaluées par Oekom montre un 'bon niveau d'engagement' au développement durable », affirme l'agence allemande de notation extrafinancière, qui publie son étude annuelle sur l'évaluation de 3 000 grandes entreprises issues de 50 pays (1), mardi 26 mars 2013. « Aucune entreprise n'est présente dans la catégorie 'très bonne'. Environ un tiers des entreprises peuvent signaler au moins quelques initiatives de gestion durable, mais elles ne sont pas intégrées de manière systématique et complète dans leurs systèmes de gestion. Plus de la moitié des entreprises (52,3 %) ont mis peu d'actions en oeuvre dans ce domaine. » « Le niveau global des efforts en RSE des entreprises est encore trop bas », déplore Till Jung, directeur du développement à Oekom. « Les entreprises publient des informations sur beaucoup de choses, mais pas forcément sur les sujets importants, liés à leurs produits. »