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Le Conseil supérieur des transports terrestres et de l'intermodalité, créé par un décret de février 2012 en application de la loi Grenelle II, est supprimé par le décret n°2014-132 publié au Journal officiel du 18 février 2014. Ce dernier texte supprime au total 33 commissions administratives à caractère consultatif dans le cadre du Cimap (comité interministériel pour la modernisation de l'action publique), qui a décidé la suppression de 166 commissions consultatives (soit 25 % du nombre total de ces instances). Il porte à 128 le nombre de commissions éliminées à ce jour. L'objectif de ce « mouvement de rationalisation » est de « supprimer des organismes redondants, qui alourdissent la prise de décision, en allongent parfois excessivement les délais, au profit de méthodes de consultation innovantes et souples, comme les consultations en ligne », explique la ministre de la Réforme d'État Marylise Lebranchu dans une communication en conseil des ministres le 14 février.
Le CSTTI (Conseil supérieur des transports terrestres et de l'intermodalité), prévu par l'article 251 de la loi Grenelle II, est créé par un décret publié au Journal officiel du jeudi 23 février 2012. « Placé auprès du ministre chargé des Transports », à qui il « donne des avis sur toute question relative aux politiques des transports terrestres et d'intermodalité », il remplace le Conseil national des transports et le Conseil supérieur du service public ferroviaire.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.