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L'accord « de compétitivité » signé par la direction de Renault avec trois organisations syndicales en mars 2013 prévoyait que « des principes de modération salariale » devraient présider aux négociations annuelles obligatoires 2014 et 2015, et que « les dimensions solidaire et rétributrice » de l'accord d'intéressement devraient être renforcées (AEF n°195385). Un accord sur les salaires pour l'année 2014, signé par la CFE-CGC et FO, et un autre sur l'intéressement pour la période 2014-2015-2016, signé par la CFDT et la CFE-CGC, mettent en oeuvre ces principes. Le premier prévoit un budget d'augmentation des rémunérations de 1 % pour les opérateurs et Etam, réparti entre augmentations générales et augmentations individuelles. Le second comporte « un intéressement associant l'ensemble du personnel aux résultats financiers du groupe » et « un intéressement reconnaissant les performances particulières des entreprises et établissements ».
Dans son accord sur le contrat de génération, « Renault prend des engagements chiffrés sur l'emploi et l'employabilité des jeunes : plus de 2 000 alternants par an, 800 contrats d'insertion sur trois ans, 30 % des embauches en CDI réservées aux jeunes, 10 % aux anciens alternants », fait savoir le groupe automobile jeudi 9 janvier 2014. L'accord a été signé le 19 décembre 2013 pour une durée de trois ans. Parallèlement, « Renault maintiendra un taux de 14 % de salariés de plus de 55 ans d'ici le 31 décembre 2016 et réservera 2 % des embauches en CDI aux personnes de 50 ans et plus », peut-on lire dans le texte. Pour les salariés entrant dans une dispense d'activité ou partant à la retraite, un dispositif de « temps partiel 'transmission des savoirs' » est également prévu.
La direction de Renault a signé, le 8 juillet 2013, un sixième accord en faveur des personnes en situation de handicap avec l'ensemble des organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CGT et FO), qui vient de recevoir l'agrément de la Direccte et dont le contenu a été présenté à la presse mercredi 27 novembre 2013. « Dans le contexte de morosité dans lequel on peut se trouver quand on est dans l'industrie en ce moment, cela a été une constante pour l'entreprise Renault de s'être intéressée de façon continue à la question du handicap », déclaré Jean Agulhon, DRH France, lors de la présentation.
Le groupe Renault, son comité de groupe et IndustriALL Global Union signent mardi 2 juillet 2013, un accord cadre mondial « de responsabilité sociale, sociétale et environnementale », indique le groupe. Le texte, conclu pour une durée indéterminée, « renouvelle et renforce les engagements pris lors de la signature de la déclaration des droits sociaux fondamentaux de 2004 » (AEF n°414546). L'accord l'enrichit de chapitres relatifs à la responsabilité sociale, environnementale, la santé et la sécurité, la diversité et complète la partie relative au dialogue social. « Le groupe aujourd'hui présent dans 38 pays, s'est considérablement internationalisé. Toutes ses entités existantes et futures doivent savoir ce que cela signifie d'appartenir au groupe », indique Tristan Lormeau, directeur des ressources humaines et compétences groupe.
Le PDG du groupe Renault, Carlos Ghosn, signe officiellement avec trois des quatre organisations syndicales représentatives du groupe (CFDT, CFE-CGC, FO) l'accord « pour une nouvelle dynamique de croissance et de développement social en France », mercredi 13 mars 2013. Par cet accord, le constructeur automobile s'engage « à produire un minimum de 710 000 véhicules en France à horizon 2016, contre un peu plus de 530 000 en 2012 » et « à préserver tous les sites industriels français ainsi que les fonctions de l'ingénierie, du commerce et du tertiaire en France », en contrepartie d'efforts consentis par les salariés en matière de temps de travail, de rémunération, ou encore d'organisation du travail.