En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Selon la dernière étude « Rate the raters » (« évaluez les évaluateurs ») publiée en février 2014 par l'organisme de sondage Globescan et le cabinet de conseil britannique SustainAbility, le CDP (Carbon disclosure project) est « l'évaluation extrafinancière la plus crédible ». Initiée en 2010, l'initiative « Rate the raters » plaide pour une plus grande transparence et qualité d'analyse dans les évaluations extrafinancières qui existent aujourd'hui, car elles sont « un élément essentiel de l'amélioration de la performance environnementale et sociale des entreprises ». Représentant 722 investisseurs institutionnels gérant plus de 87 000 milliards de dollars, le CDP produit des évaluations d'entreprises concernant le changement climatique, l'eau, la chaîne de fournisseurs, et depuis 2013 le risque de déforestation.
« Les nombreux classements extrafinanciers ne sont pas si souvent utilisés, et quand c'est le cas, ils servent d'information, ils influencent rarement les actions ou décisions d'investissements », constate une enquête de l'organisme de sondage Globescan et du cabinet de conseil britannique SustainAbility, publiée en septembre 2012. Cette enquête a été menée en juin 2012 auprès de 850 experts en développement durable (gouvernements, entreprises, ONG, chercheurs) issus de 70 pays et de multiples secteurs.
21 entreprises ont été ajoutées et 7 ont été supprimées du FTSE4Good index (footsie for good), l'indice de durabilité de la Bourse de Londres et du « Financial Times », qui publie son évaluation semestrielle, lundi 17 septembre 2012. Parmi les ajouts figurent onze entreprises américaines, trois britanniques, trois australiennes, deux japonaises, une suisse, une canadienne et aucune française. Parmi les sept suppressions, certaines n'ont pas respecté le critère « droits de l'homme et du travail » (Mattel, Best buy compagny, PCCW, Nippon Express), d'autres le critère « management environnemental » (Nippon express, Ageas, Dr Pepper Snapple, Pendragon).
41 entreprises sont ajoutées et 41 supprimées du Dow Jones sustainability index « monde », indice mondial de durabilité de la Bourse de New York, à compter du 24 septembre 2012, d'après les résultats de son évaluation annuelle, publiée jeudi 13 septembre 2012. Il s'agit de la suppression « la plus importante » de l'indice de durabilité du Dow Jones, qui comprend désormais 340 entreprises (dont 166 européennes). Chaque année 2 500 plus grandes entreprises mondiales de 58 secteurs sont invitées à communiquer sur leur performance de durabilité.
543 entreprises ont obtenu le statut « Prime » en 2011, c'est à dire investissable en ISR, soit environ 17 % des 3 200 entreprises issues de 50 pays évalués par Oekom, agence allemande de notation extrafinancière, qui a publié ses résultats le 27 mars 2012. « De nombreuses entreprises sont encore loin de ce que nous souhaiterions voir dans une économie verte. Plus de la moitié (57,4 %) n'ont mis en oeuvre que des actions rudimentaires ou n'ont rien mis en place en terme de durabilité », remarque Matthias Bönning, directeur des opérations et de la recherche à Oekom. L'Allemagne a la plus grande proportion d'entreprises ayant obtenu le statut Prime, suivi de l'Italie, de la Finlande et de la France. Au Japon et aux États-Unis, moins d'une entreprise sur dix a « démontré un niveau suffisant d'engagement au développement durable ». Les fabricants de produits ménagers obtiennent la meilleure note en moyenne, suivis de l'industrie informatique et de l'industrie automobile.