En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Les budgets d'augmentation salariale prévus en France pour 2014 s'élèvent à 2 % pour toutes les populations de salariés, annonce la société internationale de conseil en management Hay Group dans son enquête biannuelle sur les budgets d'augmentation, dont les résultats sont publiés mercredi 12 février 2014. 370 entreprises françaises ou implantées en France ont été interrogées à ce sujet. Les budgets d'augmentation sont donc revus à la baisse, car, selon les « premières estimations » recueillies en septembre 2013, ils « oscillaient […] entre 2,2 % et 2,3 % », indique la société dans un communiqué. Pour cette année 2014, « il s'agit du taux le plus bas observé par Hay Group depuis l'an 2000. La crise économique et l'asthénie de la croissance française se traduisent donc par une modération salariale comparable à celle connue après la mise en place des 35 heures ».
Le taux d'augmentation globale prévu pour 2014 se limitera à 2,5 %, soit un recul de 0,3 point par rapport aux prévisions d'août 2013 pour cette même année (AEF n°182836), selon une enquête menée par le cabinet Aon Hewitt au tout début de l'année et publiée mardi 11 février 2014 (1). Le taux d'augmentations générales s'établirait à 1,3 % et celui des augmentations individuelles à 2,3 %, contre 1,2 % et 2,5 % prévus en août 2013. « Depuis 2011, les taux d'augmentation globale semblent durablement s'inscrire autour de 2,8 %, avec une légère tendance à la baisse pour l'année 2014. Avec une inflation prévue à 0,7 % sur l'année (contre 1,7 % projetée en août 2013), les entreprises conservent cette volonté de couvrir l'inflation, tout en se laissant la possibilité d'être différenciantes dans les budgets individuels », explique Aon Hewitt.
« Le taux moyen d'augmentation des salaires bruts pour 2014 devrait finalement s'établir à 2,3 % » en France, alors qu'il était estimé à 2,8 % en juillet 2013, fait savoir le cabinet de conseil Towers Watson dans son étude « Tendances 2014 – Gestion des effectifs et des salaires » (1), publiée mercredi 11 décembre 2013. « Cette étude montre bien que pour les grandes entreprises, le regain d'activité économique attendu au mois de juillet dernier n'a pas été aussi notable qu'espéré en cette fin d'année 2013, les contraignant à revoir à la baisse leurs budgets d'augmentations salariales », explique Armelle Prokop, responsable du département rétributions chez Towers Watson.
Pour 2014, « le taux d'augmentation salariale médian anticipé, toutes populations confondues, s'établit à 2,5 % […]. Ces budgets médians devraient être homogènes pour l'ensemble des catégories professionnelles », indique Mercer, dans l'édition 2013 de son enquête annuelle (1) sur les rémunérations, rendue publique lundi 30 septembre 2013 (1).
« Depuis 2011, les taux d'augmentation globale semblent durablement s'inscrire autour de 2,8 % » et les enveloppes allouées aux augmentations générales et individuelles de salaires « se stabilisent également » : alors qu'en 2012, les taux d'augmentations générales se situaient à 1,1 % et les taux d'augmentations individuelles à 2,4 %, ces mêmes taux atteindront respectivement 1,2 % et 2,5 % en 2014. C'est ce que prévoit Aon Hewitt dans son enquête « Révisions salariales : pratiques 2013 et tendances 2014 », présentée lors d'une conférence de presse le 10 septembre 2013. L'étude met également en évidence des taux d'augmentation globale plus importants pour les entreprises de moins de 1 000 salariés que pour les entreprises de plus de 1 000 salariés.
Les entreprises en France prévoient un budget d'augmentation globale des salaires de 2,6 % en 2013, soit un recul par rapport aux prévisions de l'été 2012 (2,9 %). C'est ce qu'indique une étude du cabinet Aon Hewitt sur les prévisions des entreprises en matière de révisions salariales, publiée mardi 19 février 2013 (1). Selon Vincent Cornet, directeur du conseil en rémunération globale pour Aon Hewitt, « compte tenu du contexte économique, nous constatons que les entreprises revoient leurs budget à la baisse. Les chiffres semblent indiquer que les entreprises se trouvent confrontées dans certains secteurs à une compétitivité féroce en matière de rétention et de chasse des talents, et ont donc des politiques d'augmentation différenciantes et motivantes ».
Elles sont plus de 400 habilitées à expérimenter l’accompagnement des transitions professionnelles en recourant au CDD tremplin. Un arrêté du 4 juillet, publié le 9 août au Journal officiel, met à jour la liste des entreprises adaptées retenues dans le cadre de ce dispositif. L’annexe de l’arrêté mentionne leur raison sociale, et la date de leur habilitation. Elle complète ainsi celle de l’arrêté du 22 avril dernier. L’objectif du CDD tremplin est de permettre à la personne en situation de handicap d’acquérir une expérience et de suivre une formation en entreprise adaptée, avant de poursuivre son projet chez un autre employeur, privé ou public.