En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le président du CNRS, Alain Fuchs, annonce que son organisme « a l'intention de participer aux Comue comme membre fondateur à chaque fois qu'on le lui demandera, sous réserve qu'il y ait un projet scientifique ambitieux et tourné vers l'international ». Il fait cette déclaration lors d'une journée nationale d'accueil des nouveaux directeurs d'unités de recherche organisée par le CNRS, la CPU et l'Amue, le 3 février 2014 à Paris (AEF n°474897). Jean-Loup Salzmann rappelle que ces Comue « ont deux grandes fonctions que n'avaient pas les PRES : coordonner les politiques de formation et de recherche avec les partenaires des universités, dans une logique de coopération ». Plusieurs directeurs de laboratoire expriment néanmoins des réserves, liées à la difficulté de concilier la logique des regroupements institutionnels et celle des collaborations scientifiques.
« En travaillant avec l'ensemble des établissements d'enseignement supérieur et de recherche du site, nous pouvons tirer profit de la complémentarité qui existe entre les pôles dijonnais et franc-comtois », dans l'objectif de « renforcer les secteurs d'excellence » et de « stimuler l'émergence de nouveaux champs d'investigation ». C'est ce que déclare Alain Fuchs, président du CNRS, lors de la signature de la convention quinquennale de site, vendredi 10 janvier 2014 à Dijon (Côte-d'Or). Quatre établissements partenaires du CNRS en Bourgogne et en Franche-Comté en sont signataires : l'UB (université de Bourgogne), l'UFC (université de Franche-Comté), l'UTBM (université de technologie de Belfort-Montbéliard) et l'ENSMM (École nationale supérieure de mécanique et des microtechniques). Pour le directeur de l'ENSMM, cette convention représente « une brique de la future Comue ».
« Le CNRS n'a pas changé de ligne, il s'intéresse aux sites académiques au sens large, sans se limiter aux idex », affirme son président, Alain Fuchs, lors de la signature de la convention quinquennale de site, le 13 juin 2013 à Clermont-Ferrand. « Le message est clair : l'agglomération clermontoise fait partie des sites qui comptent dans le paysage universitaire français : le CNRS y investit près de 20 millions d'euros par an », ajoute Alain Fuchs. Il s'agit de la deuxième convention de site du CNRS, après celle signée le 4 décembre 2012 avec les établissements membres du PRES Université de Bordeaux et l'UPPA (université de Pau et des Pays de l'Adour) (AEF n°200755). Les prochaines conventions devraient concerner Toulouse (AEF n°194966) et Grenoble, précise Alain Fuchs à AEF.
Le CNRS, les établissements membres du PRES Université de Bordeaux (1) et l'UPPA (université de Pau et des Pays de l'Adour) signent une convention quinquennale de site 2011-2015, mardi 4 décembre 2012, pour « formaliser leur partenariat dans le développement de programmes de recherche ambitieux autour d'une politique scientifique partagée », annoncent-ils conjointement le même jour. « L'Aquitaine constitue un site pilote », soulignent les partenaires : « C'est le premier à signer une convention de ce type en France. » Le texte, « qui se substitue aux contrats signés entre chaque établissement d'enseignement supérieur et de recherche et le CNRS », « vise à consolider les secteurs d'excellence et à créer l'émergence de nouvelles thématiques à la croisée de plusieurs champs disciplinaires fortement implantés sur le territoire aquitain ».