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L'IIRC (Conseil international sur le reporting intégré) publie son cadre de référence pour le reporting intégré, « rapport de gestion d'entreprise réunissant une photographie financière et extrafinancière de son activité », dimanche 8 décembre 2013. L'IIRC, coalition réunissant investisseurs, entreprises et acteurs réglementaires, a mené une consultation mondiale de trois mois au début de l'année sur son projet de cadre, qui a abouti à 350 réponses de toutes les régions du monde, dont la majorité soutiennent le reporting intégré. Le projet de cadre avait été défini après deux ans de travail d'experts.
La GRI (Global reporting initiative) présente la nouvelle version de ses lignes directrices pour le reporting extrafinancier, intitulée G4, récemment traduites en français, mercredi 27 novembre 2013, au siège de TF1, en partenariat avec le Global Compact France. Le lancement international officiel avait eu lieu à Amsterdam en mai 2013 (AEF n°189199). La nouvelle version met l'accent sur le concept de « matérialité » : les entreprises doivent axer leur reporting sur les sujets les plus pertinents selon leur secteur d'activité et leurs impacts.
Le représentant de l'IIRC (Conseil international sur le reporting intégré) chargé des relations avec les parties prenantes françaises, Nick Landrot, revient sur le sens que les membres de l'organisation s'apprêtent à donner à la « matérialité » relative aux entreprises, dans leur document cadre à paraître en décembre. Il s'exprime mardi 15 octobre 2013, dans le cadre de l'atelier « L'avenir du reporting RSE : reporting intégré et matérialité », organisé par l'association BSR (Business for social responsability), qui rassemble 250 multinationales et mène des activités de conseil et des études. Si selon sa « conviction personnelle », la matérialité de l'entreprise doit s'entendre comme « ce qui est important pour créer de la valeur sur le long terme », « au sens de l'entreprise, pas des vues de chacun », plusieurs participants soulignent le danger d'exclure les parties prenantes.
« Le draft de l'IIRC fournit de grandes lignes directrices sur l'outil de communication de demain que sera le reporting intégré. Il essaie de répondre aux interrogations des acteurs. C'est le résultat de deux ans de travail des experts », explique à AEF Développement durable Philippe Peuch-Lestrade, délégué adjoint de l'IIRC (Conseil international sur le reporting intégré), mercredi 10 avril 2013. Cette coalition d'investisseurs, entreprises et acteurs réglementaires, a été créée en août 2010 sous l'égide de la GRI (Global reporting initiative), de la Fédération internationale des experts-comptables, et de l'Initiative du prince de Galles sur la comptabilité en matière de développement durable (Accounting for sustainability project), pour travailler sur une réforme des rapports financiers des entreprises et l'intégration des informations extrafinancières (1). L'IIRC publiera mardi 16 avril 2013 la version provisoire de son document cadre, qu'AEF s'est procuré. Il sera soumis à consultation jusqu'au 15 juillet.
« Le reporting intégré, c'est la communication concise des valeurs de l'entreprise. L'objectif de ce travail est d'améliorer le reporting afin qu'il soit pertinent pour les entreprises et utile aux investisseurs. Il ne s'agit en aucun cas de faire du reporting supplémentaire, ni une contrainte de plus », explique Paul Druckman, délégué général de l'IIRC (Conseil international sur le reporting intégré). Il s'exprime lors d'une conférence de presse, organisée par l'Institut RSE management, lundi 11 février 2013, en marge d'une session de deux jours de travaux à Paris. L'IIRC est une coalition d'investisseurs, entreprises, acteurs réglementaires et décideurs, créée en août 2010 sous l'égide de la GRI (Global reporting initiative) (AEF n°249507), de la Fédération internationale des experts-comptables et de l'Initiative du prince de Galles sur la comptabilité en matière de développement durable (Accounting for sustainability project), pour travailler sur une réforme des rapports financiers des entreprises et l'intégration des informations extra-financières. Installé à Londres, le conseil est présidé par Mervyn King, également président du conseil d'administration de la GRI.
« En tant que régulateurs comptables, nous voyons s'empiler des couches successives d'informations financières ou non. Il y en a beaucoup, elles ne sont pas harmonisées ni articulées. Il faut mettre de l'ordre dans ce millefeuille ! », souligne pour AEF Dominique Ledouble, président d'honneur du Conseil supérieur des experts comptables. Il anime le comité français pour le reporting intégré regroupant représentants d'investisseurs, d'émetteurs et d'experts. Ce groupe de travail contribue à l'IIRC (Conseil international sur le reporting intégré) qui a publié en septembre un « discussion paper », première ébauche du reporting intégré, qui rassemblerait informations financières et extra-financières des entreprises. Mis en consultation jusqu'en décembre 2011, il aboutira à une nouvelle version qui sera publiée en janvier 2012 (L'AEF n°232954).
28 associations bénéficieront de financements du gouvernement pour mener à bien des actions en faveur de l’égalité économique entre les femmes et les hommes. Elles ont remporté l’appel à projets lancé en mars 2022, doté d’une enveloppe totale d’un million d’euros. Les projets financés visent en particulier à "permettre à un plus grand nombre de femmes d’accéder à une autonomie économique", à "permettre aux femmes, notamment celles les plus éloignées de l’emploi, de s’insérer professionnellement" et à "promouvoir la mixité dans des secteurs identifiés comme non mixtes".