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Parmi les 25 universités les plus tournées vers l'international, 17 sont européennes, 6 d'Océanie et 2 asiatiques, indique le magazine britannique « Times higher education » le 24 janvier 2014, en se basant sur une compilation d'indicateurs internationaux issus de ses propres palmarès d'universités. Les continents américain et africain ne sont pas représentés, ni la France. Ce classement se fonde sur le pourcentage d'étudiants étrangers, de personnels internationaux, ainsi que sur le nombre d'articles de recherche signés par au moins un auteur étranger. Selon ces indicateurs, ce sont l'EPFL (École polytechnique fédérale de Lausanne) et l'EPFZ (École polytechnique fédérale de Zürich) qui dominent la scène mondiale, devant l'université de Genève (Suisse).
Cinq des huit établissements français qui figurent dans le top 200 du classement des universités mondiales du « Times higher education » 2013, publié ce 2 octobre, perdent des places par rapport à l'édition 2012 (AEF n°205340) : il s'agit de l'ENS Paris, qui passe de la 59e à la 65e place ; Polytechnique (de la 62e à la 70e place) ; l'UPMC (de la 81e à la 96e place) ; et des universités Paris-Sud (de la 92e à la 114e place) et Paris-Diderot (de la 166e à la 178e place). Seuls établissements à améliorer leur rang : Grenoble-I (du 180e au 155e), l'ENS Lyon (du 170e au 156e) et Mines ParisTech (de la tranche 226-250 au rang 193), école qui entre dans le top 200. « En France, il y a eu une chute significative dans les citations des travaux de recherche, l'indicateur qui pèse le plus lourd », souligne Phil Baty, rédacteur en chef du THE.
La Cour de cassation précise, dans un arrêt publié du 22 juin 2022, comment apprécier le principe de faveur en cas de concours entre les dispositions de la convention collective "Syntec" sur le forfait en heures et celles d’un accord d’entreprise. L’affaire relève des dispositions du code du travail antérieures la loi du 20 août 2008.