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Les Satt ont été créées pour « maturer les technologies prometteuses qui peuvent déboucher sur des preuves de concept, ce sont des objets très utiles, vertueux et originaux », déclare Ronan Stéphan, directeur de l'innovation d'Alstom. Il s'exprime lors d'un petit déjeuner organisé par le groupe sur le thème de l'innovation, lundi 9 décembre 2013. « Quand vous obtenez un résultat de recherche, la qualification de ce résultat demande peu de moyens dans un secteur comme les TIC. En revanche, dans d'autres domaines, il faut de l'argent, d'où l'intérêt des Satt », analyse Ronan Stéphan. Il revient également sur les IRT et sur la façon dont Alstom appréhende l'innovation.
« Nous avons deux missions : diffuser l'innovation et assurer le passage de l'innovation au marché », déclare Patrick Terroir, directeur général délégué de CDC propriété intellectuelle. Il s'exprime lors des premières rencontres parlementaires pour l'innovation, organisées mercredi 9 octobre 2013 à Paris (AEF n°461283). « Dans cette optique, les Satt sont un premier pas, une remarquable expérience anticipatrice à l'échelle du monde », complète-t-il. Patrick Terroir fait observer que « les Satt regroupent toutes les forces et font l'objet d'un réel investissement économique, ce que peinent à faire d'autres pays ». Des propos corroborés par la députée Anne-Yvonne Le Dain (PS, Hérault), qui estime que les Satt « sont une révolution ». « Ces structures sont un facteur d'espoir énorme. À elles désormais de décoller et d'apporter de la valeur ajoutée. »
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.