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« Notre première satisfaction est de voir le gouvernement prendre à bras-le-corps la question de l'innovation, non pas dans une posture de modernité mais en ayant pleinement conscience qu'il s'agit d'un véritable enjeu stratégique pour la France du XXIe siècle. » C'est ce que déclare à AEF Jean-Luc Beylat, président d'Alcatel-Lucent Bell Labs France et président du pôle de compétitivité Systematic, le 5 novembre 2013, après la présentation le même jour du plan « une nouvelle donne pour l'innovation » par Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique, et Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (AEF n°470630). De son côté, le Comité Richelieu entend se montrer « attentif » au respect des engagements du gouvernement, tandis que l'ACI (Association des conseils en innovation) est « volontaire » pour l'évaluation.
« Les PME ont du mal à se faire reconnaître et référencer d'une part par les pôles R&D des grands groupes, mais plus encore par leurs services des achats. J'attendais du rapport Beylat-Tambourin un rééquilibrage entre ce qui se passe en amont avec la R&D et ce qui se passe en aval avec la contractualisation (AEF n°192222). Or, les politiques vont plus vers le soutien à la recherche. » C'est ce que déclare Philippe Berna, président du Comité Richelieu, lors d'une réunion du club « recherche et innovation » d'AEF, mardi 16 avril 2013 à Paris, avec comme invitée Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique (AEF n°191380). Une quinzaine de responsables R&D de grands groupes industriels et de responsables de PME innovantes participent à la rencontre (1).
« Nous proposons une révision du décret du 'mandataire unique' pour confier au mandataire un véritable mandat d'exploitation », écrivent Jean-Luc Beylat, président d'Alcatel-Lucent Bell Labs France et du pôle de compétitivité Systematic Paris Region, et Pierre Tambourin, directeur général du Genopole d'Évry (Essonne) dans leur rapport intitulé « L'Innovation, un enjeu majeur pour la France : dynamiser la croissance des entreprises innovantes » (AEF n°192222). Il est remis à Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et Fleur Pellerin, ministre chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique, vendredi 5 avril 2013. Selon eux, « la multipropriété dans sa forme actuelle est source de difficultés dans l'exécution des projets de transfert et de ralentissement du transfert lui-même ». « Ce nouveau mécanisme doit conserver le principe du co-dépôt entre tutelles d'une même unité, pour qu'en termes d'affichage et d'évaluation, chaque tutelle puisse se prévaloir de sa contribution au brevet », explicite le rapport. « Il doit également conserver le retour financier vers les tutelles co-déposantes, notamment pour des questions d'incitativité », ajoutent les auteurs.
« La maturation est identifiée comme une étape cruciale pour le transfert, il est donc essentiel, et ce avant la fin 2013, de recentrer les Satt (sociétés d'accélération du transfert de technologie) actuelles et futures sur la maturation avant que les modes de fonctionnement et les équipes ne soient figés. » C'est ce que recommandent (proposition 8), Jean-Luc Beylat, président d'Alcatel-Lucent Bell Labs France, président du pôle de compétitivité Systematic Paris Region, et Pierre Tambourin, directeur général du Genopole d'Évry (Essonne) dans leur rapport intitulé « L'Innovation, un enjeu majeur pour la France : dynamiser la croissance des entreprises innovantes » et comprenant 19 propositions. Il est remis à Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et Fleur Pellerin, ministre chargée des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique vendredi 5 avril 2013. « L'objectif initial des Satt était de soutenir la maturation. Bien qu'issus d'un même cahier des charges, les modèles de Satt actuellement créées présentent néanmoins une forte dispersion de leurs activités, qui ne sont pas de ce fait focalisées sur la maturation », constatent-ils.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :