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« Dans un secteur où le professionnalisme et le savoir-faire s'acquièrent largement par transmission de l'expérience et où les qualifications initiales requises sont souvent d'un niveau élémentaire, [la] montée en compétences passera principalement par la formation tout au long de la vie, par la recherche de qualifications basées sur l'expérience, par l'investissement personnel des professionnels à travers le tutorat », affirme François Nogué, dans son rapport sur le développement de l'emploi dans le tourisme, remis à Michel Sapin et Sylvia Pinel, respectivement ministre de l'Emploi et ministre du Tourisme, jeudi 7 novembre 2013. De fait, le développement de la formation et la prise en compte du secteur sous l'angle d'une filière font partie du « plan de mobilisation national en faveur de l'emploi dans le tourisme » proposé par le président du conseil d'administration de Pôle emploi.
Le permis de former, qui oblige les maîtres d'apprentissage du secteur des hôtels-cafés-restaurants à suivre une formation de 14 heures (AEF n°196973), est un moyen de « responsabiliser les entreprises », déclare Régis Marcon, restaurateur et auteur d'un livre blanc sur l'alternance dans la restauration (AEF n°237223), lundi 14 avril 2013. Il s'exprimait lors d'une conférence de presse qui réunissait plusieurs chefs d'entreprise en amont des assises de l'alternance dans l'hôtellerie-restauration organisées par le Fafih et le comité France formation alternance hôtellerie-restauration (1), dont Régis Marcon est président. La difficulté pour attirer des jeunes vers ces métiers a également été abordée. En 2012, le Fafih a financé 14 000 contrats de professionnalisation et environ 37 000 contrats d'apprentissage.
Les ruptures de contrat d'apprentissage, qui ont le plus souvent lieu lors des trois premiers mois, sont plus fréquentes dans les secteurs traditionnels de l'apprentissage, dans les petites entreprises et lors des contrats longs (deux ou trois ans). C'est ce qu'il ressort d'une étude « Bref thématique » (n°36) sur le contrat d'apprentissage en Île-de-France daté de décembre 2012 et réalisé par le service études-statistiques-évaluation de la Direccte Île-de-France. 24,5 % des contrats d'apprentissage conclus en 2009-2010 ne sont pas allés à leur terme, ce qui représente 12 000 ruptures.
Régis Marcon, restaurateur étoilé de Haute-Loire a remis mercredi 29 mai 2011 son livre blanc « L'alternance dans la restauration, avançons ensemble » à Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé, et à Frédéric Lefebvre, Secrétaire d'État, chargé du Commerce, de l'Artisanat, des PME, du Tourisme, des Services, des Professions Libérales et de la Consommation. Ce livre blanc fait suite a un rapport remis par le restaurateur le 16 février 2010 à Laurent Wauquiez, alors secrétaire d'État chargé de l'Emploi, et à Hervé Novelli qui occupait le poste de secrétaire d'État chargé PME. Intitulé « Développer l'alternance dans le secteur de la restauration : pour une stratégie nationale », cette mission avait pour vocation de se placer dans le prolongement de la mise en place du « contrat d'avenir » de la restauration (AEF n°292798) signé par les organisations professionnelles du secteur le 28 avril 2009, qui liste les engagements de la profession en termes de recrutement et de développement de la formation en alternance en contrepartie de la baisse de la TVA à 5,5 %
Voici une sélection d’informations RH en bref pour la semaine du 30 janvier au 3 février 2023 :
Voici une sélection de brèves sur la protection sociale pour la semaine du 30 janvier au 3 février 2023 :
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 30 janvier 2023 :