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Les actionnaires de Pernod Ricard réunis en assemblée générale mixte le 6 novembre 2013 « ont approuvé la modification des statuts du groupe à l'effet de déterminer les modalités de désignation des administrateurs représentant les salariés », conformément à la loi du 14 juin 2013 sur la sécurisation de l'emploi. Ainsi, le premier administrateur salarié sera désigné par le comité de groupe (France) et le second par le comité d'entreprise européen.
Le Trophée du capital humain 2013 revient au groupe Pernod Ricard, « distingué par le jury pour la globalité de sa politique RH », annonce Michael Page, co-fondateur du Trophée, le 25 juin 2013. « En amont de l'annonce du lauréat, les groupes Casino, Essilor, Pernod Ricard, Schneider Electric et Total se sont vu décerner un trophée pour chacune des thématiques retenues pour cette édition 2013. »
L'article 9 de la loi n° 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi rend obligatoire la représentation des salariés au conseil d'administration ou de surveillance des sociétés comptant au moins 5 000 salariés en France ou 10 000 dans le monde. L'assemblée générale des actionnaires devant se prononcer sur les modifications statutaires nécessaires à cette représentation doit intervenir au plus tard en 2014. L'entrée en fonction sera effective six mois plus tard.
« Réconcilier les objectifs des différents acteurs de l'entreprise. » Tel est l'objectif du rapport du CAS (Centre d'analyse stratégique), intitulé : « Améliorer la gouvernance d'entreprise et la participation des salariés », remis mardi 1er juin 2010 à Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique. Le rapport, dont l'auteur est l'économiste Salima Benhamou, (département Travail, emploi, formation du CAS), vise une nouvelle approche « intégrée » de la gouvernance d'entreprise : « il est possible de dépasser la confrontation traditionnelle entre droits des salariés et exigence de performance, en développant une approche volontairement axée sur l'objectif de performance économique de l'entreprise ». Pour cela, il convient d'articuler « les formes de participation [qui] sont diverses et inégalement développées en France » : la participation aux résultats de l'entreprise, l'information et la consultation des salariés, la participation à la décision stratégique. Le rapport du CAS propose douze pistes de réformes pour rechercher la complémentarité des dispositifs et converger vers un intérêt commun.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.