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« La discussion est ouverte. Je précise qu'aucune porte n'est fermée », prévient Vincent Peillon, le ministre de l'Éducation nationale lors d'une rencontre avec la presse sur le lancement des négociations avec les syndicats sur le métier enseignant, lundi 18 novembre 2013 (AEF n°460577). Le ministre identifie des « sujets lourds » comme les obligations réglementaires de service (ORS) des enseignants du second degré. « Le travail ne se limite pas au face à face avec élève. On n'a jamais été capable de définir ces nouvelles missions et [de voir] dans quelles mesures elles relèvent des ORS. » « Si nous y arrivons, je considère que ce sera une avancée historique », insiste Vincent Peillon. Il se dit « optimiste » sur les discussions mais évoque « des obstacles », notamment liés aux « conservatismes ». Le ministère a par ailleurs précisé ses pistes de travail sur les différents métiers.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.