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La sûreté des personnes, la protection des biens et la protection des voyageurs d'affaires sont les activités les plus citées comme intégrant le périmètre des directeurs de sécurité, respectivement par 98 %, 94 % et 85 % d'entre eux. C'est ce qu'indique une étude réalisée auprès des membres du CDSE par Laurent Griot, adjoint du directeur de la sûreté internationale de la Société générale, publiée dans le numéro 14 de « Sécurité et stratégie », la revue du CDSE, daté d'octobre-décembre 2013. « Les fonctions de directeur de la sûreté sont encore largement méconnues et le périmètre exact des directions de sûreté demeure un domaine aux limites pour le moins peu ou mal définies », indique Laurent Griot.
La gouvernance du CDSE a été remaniée à l'occasion de la dernière assemblée générale de l'association, mercredi 3 juillet 2013, annonce cette dernière. L'organisation est désormais dirigée par un président, Alain Juillet, réélu à cette occasion, et par deux vice-présidents, Pascal Crépin, directeur de la sûreté du groupe Air Liquide, et Charles Yvinec, directeur de la sûreté d'Air France. Il n'y avait auparavant qu'un seul vice-président, Régis Poincelet, directeur de la sûreté de GDF-Suez. « Les directeurs de sécurité pouvant être extrêmement sollicités, nous avons décidé de créer deux postes de vice-président », explique Olivier Hassid, directeur de l'association, qui regroupe désormais 98 entreprises.
Le CDSE lance, jeudi 20 juin 2013, des supports de communication sur le thème de la protection de l'information dans les entreprises. Cette « boîte à outils », qui prend la forme de quatre visuels libres de droits conçus pour être déclinés sous forme d'affiches et de cartes postales, est réalisée avec le soutien de la D2IE. « Cette série de visuels a pour objet de sensibiliser, de façon ludique, le plus large public possible aux questions de la protection de l'information et d'améliorer le comportement de chacun en incitant à des réflexes de bonne conduite et de bon sens », déclare le CDSE.
La sécurité des salariés à l'étranger est la principale préoccupation des directeurs de la sécurité en entreprise, selon Thierry Menuet. Le responsable du département de la gestion des risques à la CCI de Paris et membre du comité de pilotage de l'Agora des directeurs de la sécurité présentait, au nom de cette organisation, les enjeux et missions des directeurs de la sécurité dans le cadre d'une conférence organisée lors du salon Expoprotection, jeudi 6 décembre 2012. Thierry Menuet indique avoir dressé la liste des préoccupations des directeurs de la sécurité à partir de différents sondages réalisés auprès de ces professionnels au cours des derniers mois. La sécurité des expatriés préoccupe les responsables de la sécurité du fait du développement « de la menace terroriste, des contextes de guerre civile et d'instabilité politique » à travers le monde, explique Thierry Menuet.
« Il paraît indispensable que l'État et les entreprises mettent en oeuvre un observatoire conjoint de veille et d'analyse ». C'est ce que propose Alain Juillet, le président du CDSE, en ouverture du colloque annuel de l'organisation, jeudi 6 décembre 2012 à Paris (AEF Sécurité globale n°200659). « C'est par la coproduction de sécurité que nous parviendrons à répondre aux incertitudes du futur, poursuit-il. Il faut repenser les dépenses en cybersécurité. L'État et les entreprises investissent, mais sans que l'on sache mesurer l'efficacité relative des différents outils. Il est nécessaire de se demander quels seront les outils technologiques du futur » permettant d'éviter les menaces.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.