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Pour donner plus de « visibilité », sur les marchés mondiaux, aux quatre programmes qu'il a développés autour du management des vins et spiritueux, le groupe ESC Dijon-Bourgogne crée une « school of wine and spirits business » (SWSB), officiellement inaugurée vendredi 15 novembre 2013 à Beaune (Côte-d'Or). Son directeur, Jérôme Gallo, précise qu'elle a pour ambition de devenir « la référence mondiale » en matière de vins et spiritueux. La SWSB figure dans le plan stratégique 2013-2017 du groupe, qui vise à donner à l'ESC « un rayonnement international à travers un champ d'expertise pour lequel elle a une vraie légitimité », indique Stéphan Bourcieu, directeur général de l'ESC Dijon-Bourgogne. La SWSB a pour ambition de former entre 150 et 200 étudiants chaque année au niveau master.
« Le déploiement des Moocs vient conforter, plus que concurrencer, le business model des grandes écoles de management, dans lequel la création de valeur ne se limite pas à la transmission des connaissances », écrivent Stéphan Bourcieu, directeur général du groupe ESC Dijon-Bourgogne, et Olivier Léon, directeur adjoint, dans un article intitulé « Les Moocs, alliés ou concurrents des business schools » paru dans « L'Expansion management review » de juin 2013 (1). « Paradoxalement, cette approche pédagogique est même susceptible d'améliorer la qualité des connaissances transmises aux étudiants, mais aussi la demande de services complémentaires d'accompagnement. » Les deux auteurs concluent que si les cours en ligne ne concurrencent pas directement les business schools, ils « peuvent se révéler être un produit de substitution redoutable aux traditionnels manuels ».
« D'une façon générale, les écoles de commerce françaises sont à la traîne par rapport aux attentes de leur population coeur de cible : elles n'ont pas tout compris à ce qui est en train de se passer sur internet. Celui-ci provoque un changement de paradigme qui pourrait bouleverser la hiérarchie des écoles aux yeux des générations Y et C. » C'est la conclusion à laquelle aboutit Philippe Mauchamp, président du Groupe 361, une agence de communication spécialisée dans le management des actifs de marque, qui publie, mardi 23 avril 2013, son premier « baromètre d'e-réputation et d'influence en ligne des ESC françaises ». Celui-ci se traduit par cinq « indices » qui, une fois agrégés, donnent lieu à un « classement général » des 56 écoles de commerce prises en compte. Au global, « les grands gagnants de cette étude sont Bordeaux école de management, Skema business school, Reims management school et dans une moindre mesure, Toulouse business school », indique Philippe Mauchamp, tandis que « Rouen business school, Audencia et Euromed management en sont les grands perdants ».
La chambre de commerce et d'industrie de Côte-d'Or a voté en assemblée générale, lundi 26 novembre 2012, « l'autonomisation du groupe ESC Dijon Bourgogne » qui, d'ici à fin 2012, passe sous statut associatif. « Nous allons sortir du giron de l'établissement public administratif pour gagner plus de souplesse dans la gestion », dit Stéphan Bourcieu, directeur de l'école, qui souligne que « le statut consulaire n'est pas adapté à nos métiers propres ».
« Le modèle développé par l'ESC de Dijon et Oxford Brookes University est un des modèles, pas le seul, d'Airbus académique. » C'est ce que déclare Éric Cornuel, le directeur général de l'EFMD (european foundation for management development), qui défend la constitution, à l'échelle de l'Europe dans l'enseignement supérieur, de consortiums selon un modèle emprunté à l'industrie. Éric Cornuel intervient à l'occasion de la signature officielle, vendredi 25 mars 2011, de l'alliance entre l'ESC Dijon-Bourgogne et Oxford Brookes University (AEF n°253975), à la maison française d'Oxford (Grande-Bretagne).