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Home| Social / RH| Protection sociale| Dépêche n°469090

Plan urgences : Rhône-Alpes met l'accent sur les médecins correspondants Samu et les centres de soins intermédiaires

« Renforcer le dispositif des médecins correspondants Samu et lancer une réflexion sur l'expérimentation de centres de soins de premier recours avec plateaux techniques », sont les deux chantiers prioritaires prévus par la commission régionale des soins urgents et non programmés (1), mise en place le lundi 23 septembre 2013 par Christophe Jacquinet, directeur général de l'ARS Rhône-Alpes, dans le cadre du « Plan urgences » (circulaire du 27 juin dernier). Objectif : « améliorer l'accès aux soins urgents et non programmés et les conditions de travail des médecins urgentistes en Rhône-Alpes », conformément à l'objectif du gouvernement qui souhaite que chaque citoyen ait accès à un service d'urgence situé à moins de 30 minutes de son domicile. « Les urgences et les soins non programmés ne sont pas qu'un sujet hospitalier », estime Christophe Jacquinet, interrogé par l'AEF.

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Protection sociale

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Champagne-Ardenne : l'ARS travaille sur « l'aval des urgences » et finalise son plan d'actions régional (A. Gerbaud)
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Que faire pour désengorger les urgences ? Le débat organisé par la CRSA de Poitou-Charentes le 10 octobre 2013, a fait émerger des solutions testées dans la région, avec plus ou moins de succès, pour éviter l'hospitalisation des personnes âgées : permanence infirmière de nuit en Ehpad, coordination hôpital/Ehpad au sein d'un GCSMS… Des idées nouvelles ont aussi surgi. L'une d'elles, organiser une permanence des soins en journée, a retenu l'attention du directeur de l'ARS, François-Emmanuel Blanc, mais sans faire l'unanimité chez les urgentistes et les généralistes présents. Tout en insistant lui aussi sur la régulation médicale et les parcours de santé fléchés, Pierre Carli, auteur d'un récent rapport sur le sujet et grand témoin de ce débat à Poitiers, a incité l'hôpital à repenser son organisation et sa gestion des lits.

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