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La France arrive au 22e rang du classement de Transparency International, publié mardi 3 décembre 2013, soit à la même place que l'année dernière. L'IPC (indice de perception de la corruption) évalue 177 pays en fonction de la perception du niveau de corruption affectant leur administration publique et classe politique, et de la volonté politique de lutter contre la corruption. Le Danemark et la Nouvelle-Zélande sont tous deux au premier rang du classement. Les plus mauvais élèves sont l'Afghanistan, la Corée du Nord et la Somalie. Transparency International France sort le même jour son rapport sur la transparence de la vie publique française.
« Le nombre et la gravité des mises en cause pour corruption des firmes et de leurs dirigeants ne cessent d'augmenter : 20 % des entreprises nord-américaines (15 % en 2010), 16 % des entreprises européennes (13 % en 2010) ont fait l'objet d'allégations ou de condamnations », constate une étude de Vigeo intitulée « Que font les entreprises pour prévenir la corruption ? », publiée mercredi 13 mars 2013. « La fréquence des affaires de corruption est corrélée au secteur d'activité des entreprises. Parmi les 32 secteurs d'activité évalués par Vigeo, le BTP, la pharmacie et les biotechnologies, les équipements et services médicaux, le secteur parapétrolier et automobile, restent les plus controversés. » Trois ans après une première étude dans ce domaine, Vigeo recense et compare les stratégies de prévention de la corruption et les performances de 1 268 entreprises cotées en Asie-Pacifique, en Amérique du Nord et en Europe entre 2010 et 2012.
Le Danemark et la Finlande arrivent aux premiers rangs du classement de Transparency International, publié mercredi 5 décembre 2012. L'IPC (indice de perception de la corruption) évalue 176 pays en fonction de la perception du niveau de corruption affectant leur administration publique et classe politique. Ils sont suivis de la Nouvelle-Zélande, la Suède, Singapour, la Suisse, l'Australie, la Norvège, du Canada, et des Pays-Bas. « Si aucun des 25 pays évalués ne dispose d'un système de lutte contre la corruption totalement efficace, certains se distinguent par des garanties plus solides : les pays scandinaves d'abord, suivis par l'Allemagne, la Suisse et le Royaume-Uni », note l'ONG.
Transparency International appelle les gouvernements à « maintenir la pression sur les entreprises », à la suite de la publication de son rapport sur la mise en oeuvre de la convention de l'OCDE contre la corruption, jeudi 6 septembre 2012. « Les mises en cause pour corruption mènent de plus en plus souvent à des amendes et à des peines d'emprisonnement de nature à porter atteinte à la réputation des entreprises. Avec 144 nouvelles affaires en 2011, le nombre total de poursuites engagées par 37 grands pays exportateurs est passé de 564 fin 2010 à 708 fin 2011 », constate l'ONG. Néanmoins, « davantage de gouvernements doivent dissuader la criminalité des entreprises et encourager les échanges commerciaux honnêtes ». « Seuls sept pays sur 37 appliquent activement la convention de l'OCDE, douze l'appliquent modérément, 18 pays n'ont encore engagé aucune poursuite à l'encontre d'entreprises pour grande corruption internationale », alerte Transparency International.