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« La responsabilité commune des établissements d'un même territoire est un des éléments les plus neufs apportés par la loi, avec l'instauration des communautés d'universités », estime Terra Nova dans une note intitulée « Autonomie des universités : il faut passer aux travaux pratiques », publiée vendredi 4 octobre 2013. Le think tank s'interroge sur les pratiques engendrées, et soulève à cet égard « trois grandes inconnues » : les CUE vont-elles aller dans le sens de l'effacement progressif de la division entre universités et écoles ? Que valent réellement les regroupements, si chaque établissement dispose de sa propre annexe au contrat négocié avec l'État, dont il décide seul ? Quelle place pour les organismes de recherche dans les stratégies régionales ? Terra Nova évoque par ailleurs des thématiques liées à la formation (AEF n°461560).
« Le projet de loi est hélas fidèle à une vision qui n'est désormais plus que française : celle de l'organisation et de la gouvernance des universités, en vertu d'un modèle unique, s'appliquant du haut vers le bas, même si, conformément encore à la tradition française, des dérogations sont possibles pour les 'grands établissements'. » C'est ce que déplore le club de réflexion Terra Nova (1) dans une note consacrée à la loi sur l'enseignement supérieur et la recherche, mise en ligne le 11 mars 2013, et dans laquelle les auteurs voient « de réelles avancées et des points en suspens ». Les points de satisfaction portent sur « les dispositions sur la parité, le transfert technologique, la formation tout au long de la vie, l'objectif d'attractivité du territoire national, la réforme de l'évaluation », mais Terra Nova classe plusieurs volets importants de la loi sous l'onglet « points de vigilance » : la gouvernance des universités, les communautés scientifiques, ainsi que l'accréditation des formations (AEF n°193902). Le projet de loi devrait être présenté en conseil des ministres le 20 mars prochain.
La France et la Grande-Bretagne ont deux systèmes universitaires différents, mais qui partagent « un même objectif, celui d'une université de qualité, accessible à tous » et bénéficiant à « l'attractivité et à la santé économique du pays ». C'est avec ces mots que Peter Ricketts, ambassadeur de Grande-Bretagne en France, ouvre le débat « Élargir l'accès à l'enseignement supérieur : l'égalité en question », organisé lundi 18 février 2013 à la résidence de l'ambassadeur par Terra Nova et le British Council. Selon l'ambassadeur, les deux pays ont « besoin d'assurer un accès plus diversifié [à l'enseignement supérieur], en particulier en ces temps marqués par des pressions budgétaires ». Jean-Yves de Longueau, sous-directeur à l'égalité des chances et à la vie étudiante de la Dgesip, définit l'égalité des chances comme la possibilité « de faire en sorte que tous les jeunes aient un accès égal à l'ambition et les moyens de réaliser leur ambition. »
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :