En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
La gratification du stage étudiant en entreprise de trois mois et plus devrait être à l'ordre du jour de la deuxième réunion plénière du comité de suivi des stages, qui se tiendra le 11 octobre 2007. C'est l'un des éléments de discussion mentionnés dans le document de travail remis aux membres du comité en vue de cette réunion. Le comité de suivi pourrait ainsi étudier l'éventualité d'une modulation de la gratification en fonction du niveau de la formation du stagiaire. Quatre niveaux de formation pourraient être envisagés, "bac à bac+2, bac+3, bac+4 et bac+5". Le document de travail indique un "exemple de rémunération de stagiaires (grande entreprise): bac à bac+2 (368 euros par mois), bac+3 (700 euros par mois); bac+4 (900 euros par mois); bac+5 (860 à 1 400 euros par mois)".
Les ministres de l'Enseignement supérieur et du Travail ont mis en place lundi 10 septembre 2007 (L'AEF du 10/09/2007, 463797) le "comité de suivi des stages et de la professionnalisation des cursus". Voici les réactions de trois syndicats étudiants associés à cette commission.
"Chaque diplôme post-baccalauréat devra à terme comporter au moins un stage dans le monde professionnel. Le passage dans l’entreprise ou auprès d’un employeur ne peut plus demeurer l’apanage de certains diplômes ou de certains cursus, il doit être généralisé, et pour cela, mieux encadré, mieux compris par les enseignants et les étudiants, mieux pensé par les employeurs publics et privés", déclare Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ce lundi 10 septembre 2007, lors de l’installation du "Comité de suivi des stages et de la professionnalisation des cursus universitaires" (Sta-Pro). Ce comité devra "poser la question de la place des expériences professionnelles dans les cursus, de la forme qu’ils doivent revêtir, de leur apport et de leur évaluation".