En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le Medef tient à afficher sa "transparence" concernant ses comptes après la polémique provoquée par la mise en cause de Denis Gautier-Sauvagnac, le président de l'UIMM, dans une affaire de retraits bancaires suspects des caisses de son organisation. L'organisation patronale, dont la présidente, Laurence Parisot, a rappelé le 15 octobre 2007 qu'elle publiait ses comptes, a ainsi mis en ligne sur son site, son compte de résultats pour 2006. Et chaque année, un rapport annuel de gestion sera présenté lors de son assemblée générale.
La CGPME appelle, dans un communiqué de presse publié ce mercredi 17 octobre 2007, "l'ensemble des organisations patronales et syndicales interprofessionnelles représentatives" à publier leurs comptes, comme elle s'engage elle-même à le faire, "afin que cessent les rumeurs et spéculations les plus folles sur le financement du paritarisme". L'organisation patronale rappelle, pour sa part, "qu'elle est constituée sous forme d'association 1901 et que ses comptes (...) sont certifiés par un commissaire aux comptes depuis 2000".
"Je propose d'ouvrir rapidement une première phase de délibération sociale sur les quatre thèmes de la transparence, du financement du paritarisme, de la représentativité et de l'espace contractuel, et qui doit permettre de dresser un diagnostic ainsi qu'élaborer quelques pistes pour ensuite ouvrir la négociation", indique Laurence Parisot, présidente du Medef, lors de sa conférence de presse mensuelle, ce mardi 16 octobre 2007.
La CFDT, la CGT et l'UPA renouvellent leur volonté de voir réformés les critères de représentativité syndicale, tandis que la CFTC entend se concentrer sur le financement des organisations syndicales. C'est ce qu'elles indiquent, ce mercredi 10 octobre 2007, au lendemain de l'intervention de Xavier Bertrand, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, qui s'est déclaré "très favorable" à une "accélération" de la réforme du financement et de la représentativité des syndicats (L'AEF n°330067).
Les partenaires sociaux "souhaitent accélérer le calendrier" des discussions sur la réforme de la représentativité et du financement des organisations syndicales, souligne Xavier Bertrand. Le ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité s'y déclare "très favorable", ce mardi 9 octobre 2007, lors de la séance de questions au gouvernement, à l'Assemblée nationale. Organisations patronales et syndicales avaient décidé, le 19 juin dernier, de se saisir de cette question en 2008 (L'AEF n°466528), mais certaines d'entre elles envisagent désormais d'anticiper cette échéance.
"Peser sur le patronat et le gouvernement dans un contexte d'actualité chargée où il est parfois difficile de lire ce qui est en train de se tramer" sera l'objectif de la "semaine de mobilisation" qu'organise la CFDT du 8 au 12 octobre 2007 sur le thème "des garanties nouvelles pour tous", indique ce matin, lundi 8 octobre 2007, Marcel Grignard, secrétaire national de la confédération.
2 035 postes de personnels contractuels sont à pourvoir à l’académie de Versailles pour la rentrée 2022, dont 1 300 professeurs des écoles et professeurs en collèges et lycées, pour des disciplines aussi bien générales (comme l’anglais ou les mathématiques) que technologiques et professionnelles. Des "journées de recrutement" ont lieu du 30 mai au 3 juin, dans les quatre départements. Chacune de ces journées est organisée autour d’un espace recrutement, qui permet aux aspirants enseignants de passer un entretien d’embauche, et d’un espace rencontre, pour permettre à ceux qui ne connaissent pas les métiers de l’académie d’échanger avec des personnels contractuels déjà en poste. La secrétaire générale du SNES-FSU, Sophie Vénétitay, a réagi sur les réseaux sociaux à cette opération et dénonce une tentative de "masquer l’effondrement du service public".