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Les cours se déroulent normalement ce matin, mercredi 28 novembre 2007, sur le campus de Dijon, à l'université de Bourgogne. Le blocage du bâtiment Droit-Lettres, voté hier par une assemblée générale réunissant 250 personnes (L'AEF n°326654), n'a pas été mis en place. "Aucune occupation illégale des locaux n'a eu lieu hier soir et il n'y a aucun blocage du bâtiment ce jour" indique la présidence de l'université de Bourgogne. "L'assemblée générale qui a réuni 250 personnes n'était en effet pas légitime pour voter ce blocage", affirme Charly Janodet, président de l'Unef Dijon, "dès lors que 1 500 étudiants ont voté pour le déblocage du bâtiment Droit-Lettres la semaine dernière" (L'AEF n°321105). "Nous pensons que ce n'était pas le moment d'aller vers le blocage", considère pour sa part Tennessee Garcia, président de la FSE Dijon: "Le collectif avait décidé lundi de ne pas présenter le blocage au vote à l'AG d'hier. Une personne présente l'a proposé, c'est la démocratie, mais ceux qui ont voté le blocage ne se sont pas présentés pour le mettre en place."
Une assemblée générale de 250 personnes, réunie mardi 27 novembre 2007, a voté à main levée, le blocage pour 24 heures du bâtiment Droit-Lettres sur le campus de Dijon, à l'université de Bourgogne. "Nous ne reconnaissons aucune légitimité à ce vote, ni au blocage", indique Sylvain Comparot, président de la FED (Fédération des étudiants de Dijon), qui représente 74% des sièges étudiants dans les conseils centraux de l'université de Bourgogne. "D'autant plus que depuis aujourd'hui et jusqu'à demain soir, des élections partielles sont réalisées dans les composantes de l'UB." La FED appelle Sophie Béjean, présidente de l'université de Bourgogne, "à tout mettre en oeuvre pour que le blocage n'ait pas lieu" et demande "aux étudiants [de] se rendre normalement en cours demain".
Les cours se déroulent normalement depuis mercredi 21 novembre au matin sur le campus de Dijon, à l'université de Bourgogne. La levée du blocage du bâtiment droit-lettres a été votée en assemblée générale mardi 20 novembre (L'AEF n°321105). Hier, une nouvelle assemblée générale a réuni entre 500 et 600 étudiants: le blocage de l'université n'a pas été soumis au vote. Une manifestation réunissant 300 à 400 étudiants, aux côtés d'une centaine de lycéens, d'après la FSE (Fédération syndicale étudiante), s'est déroulée le même jour dans l'après-midi dans le centre-ville de Dijon.
Le déblocage du bâtiment droit-lettres, sur le campus de Dijon, à l'université de Bourgogne a été décidé lors d'une assemblée générale étudiante qui s'est déroulée aujourd'hui mardi 20 novembre 2007. 2 000 étudiants ont pris part au vote à main levée. Le déblocage a été voté avec une majorité estimée autour des trois quarts des votants. Le bâtiment droit-lettres, qui accueille 8 000 étudiants, était bloqué depuis le mardi 13 en soirée (L'AEF n°327109). Une partie des cours prévus dans le bâtiment avaient pu reprendre lundi 19 novembre (L'AEF n°322951) dans d'autres locaux de l'université. Les enseignements doivent reprendre demain matin.