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"Maintenant que le problème de l'intégration des IUFM dans les universités se règle, nous pouvons passer à l'étape suivante: la rénovation pédagogique", déclare à L'AEF Patrick Baranger, président de la CDIUFM (Conférence des directeurs d'institut universitaire de formation des maîtres). Lors de sa dernière réunion à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) le 6 et 7 novembre 2007, la conférence a esquissé plusieurs pistes de refonte du cursus. Elle les soumettra à Xavier Darcos et Valérie Pécresse dans les jours prochains. "L'idée générale est de penser concours, recrutement et mastérisation dans le même temps", explique Patrick Baranger.
L'intégration des IUFM au sein des universités constitue "une opportunité historique", affirme Patrick Baranger. Élu en juin 2007 (L'AEF n°465289), le nouveau président de la CDIUFM (Conférence des directeurs d’IUFM) répond aux questions de L’AEF.
La reconnaissance du diplôme des IUFM au niveau master est le principal sujet abordé lors de la dernière CDIUFM, qui s'est tenue jeudi 20 septembre 2007. "Nous sommes très décidés à faire reconnaître ce diplôme, ainsi que Nicolas Sarkozy l'avait préconisé dans sa lettre de mission à Valérie Pécresse", explique Patrick Barranger, le nouveau président de la CDIUFM. Il s'attellera à "tout faire" pour que ce chantier s'ouvre rapidement au sein du ministère.
La Cour de cassation rappelle dans un arrêt publié du 12 mai 2022 que, lorsqu’un accident du travail a donné lieu à un arrêt de travail, la présomption d’imputabilité au travail est automatique pendant toute la durée d’incapacité de travail précédant soit la guérison complète, soit la consolidation de l’état de la victime, sans qu’il soit nécessaire d’établir une continuité des symptômes et des soins. Il appartient à l’employeur qui conteste cette présomption d’apporter la preuve contraire.