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"Le gouvernement entend s'appuyer pleinement sur l'Inserm et en faire le véritable pivot de la recherche biomédicale française", déclare Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, aux directeurs d'unités de l'Inserm, réunis ce mardi 5 février 2008. La ministre souhaite que l'organisme de recherche assume "demain un rôle renforcé de coordination et d'agence de moyens". C'est la mission qu'elle a confiée, avec Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, au nouveau directeur de l'Inserm André Syrota (L'AEF n°319757). Cette mission "ne suppose ni transformation radicale de l'Institut, ni bouleversements complets des structures".
L'Inserm "réfléchit à se réorganiser autour de grands instituts, qui chapeauteraient les laboratoires et qui donneraient une visibilité internationale, à l'image de ce qui existe au CNRS, avec l'Insu (Institut national des sciences de l'univers) et l'IN2P3 (Institut de physique nucléaire et de physique des particules). C'est une organisation qui permet de faire coïncider la gestion et l'action scientifique." C'est ce que déclare Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, dans une interview au quotidien "Le Figaro", aujourd'hui, lundi 14 janvier 2008 (L'AEF n°320583).