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"Faire évoluer les représentations liées à la parentalité dans l'entreprise, créer un environnement favorable aux salariés parents, en particulier pour la femme enceinte, et respecter le principe de non-discrimination dans l'évolution professionnelle des salariés parents": tels sont les trois engagements pris par les signataires de la "Charte de la parentalité", lancée ce vendredi 11 avril 2008 par l'association SOS Préma et L'Oréal, sous le patronage du ministère du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité. 29 entreprises ont d'ores et déjà signé ce texte. Un observatoire de la parentalité en entreprise devrait être créé pour y donner une suite.
La direction générale de l'Ifremer et les organisations syndicales ont signé le 28 février 2008 un accord sur l'égalité professionnelle entre hommes et femmes. Cet accord doit notamment permettre de favoriser la prise de responsabilité des femmes au sein de l'institut. Il concerne également les conditions d'accès à l'emploi, à la formation professionnelle, à la rémunération et aux promotions. L'accord prévoit notamment de faciliter l'articulation entre les vies professionnelle et personnelle des femmes. Pour cela, il est prévu de mettre en place une aide à la parentalité dédiée à la garde d'enfant et au soutien scolaire, avec une enveloppe financière de l'ordre de 100 000 euros par an.
La ville de Nantes, le Conseil général de Loire-Atlantique et la CAF (caisse d'allocations familiales) mandatent depuis octobre 2006 l'association ADT44 (Aide à domicile pour tous) pour mener l'expérimentation d'un système de garde d'enfants à domicile destiné aux parents qui travaillent en horaires décalés.
"Le soutien à la parentalité tend, ces dernières années, à se généraliser à l'ensemble des pays développés, et notamment aux pays latins (traditionnellement peu interventionnistes dans la vie des familles)", indique une analyse sur "les politiques d'accompagnement des parents pour le bien-être des enfants" menée dans une "perspective internationale" et que publie le CAS dans sa "note de veille" n°85. Pointant "l'intensité inégale" de cette évolution selon les pays, le CAS souligne toutefois que "les pratiques et références théoriques anglo-saxonnes (États-Unis, Royaume-Uni, Canada) gagnent en influence, même dans des pays qui revendiquent un passé en matière d'éducation familiale et d'accompagnement des relations enfants-parents (France, Allemagne ou Belgique)".
L'accord sur l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes au sein de la branche Caisse d'Épargne a été signé, le 23 novembre 2007, par deux organisations syndicales, FO et le syndicat unifié Unsa. La CGT a annoncé ce matin, jeudi 6 décembre 2007, à l'occasion de la dernière séance de négociations sur les NAO, qu'elle allait elle aussi signer cet accord sur l'égalité hommes-femmes.
Les fédérations syndicales CFDT, CFTC, CGT, FO et SUD ont signé le 24 octobre 2007, avec la direction de France Télécom SA, un accord triennal sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Des négociations avaient été engagées entre la direction et les organisations syndicales au mois de mai 2007. Un accord sur l'égalité professionnelle entre femmes et hommes avait été signé en 2004, pour une durée de trois ans. Suite à la signature de ce nouvel accord, l'entreprise souhaite obtenir le "Label égalité professionnelle" en France.
Euro Disney et six des sept organisations syndicales du groupe ont signé un nouvel accord triennal (2007-2010) sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Le précédent accord, signé en 2004 pour trois ans, arrivait à échéance. Les syndicats FO, Unsa, CFE-CGC et Sipe (indépendant) avaient donné leur accord cet été, mais la direction attendait la signature d'au moins l'un des trois principaux syndicats (CFTC, CFDT ou CGT), afin que l'accord soit majoritaire. Finalement, seule la CFTC, premier syndicat d'Euro Disney, se refuse à signer ce texte, estimant qu'il "n'apporte aucune avancée notable par rapport au précédent".