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La carrière et la mobilité, la coopération internationale, les infrastructures de recherche, la programmation conjointe et le partage des connaissances constituent les principales préoccupations des acteurs de la recherche européenne. C'est la conclusion du rapport publié récemment par la Commission européenne, d'après les réponses à la consultation publique sur le Livre vert intitulé "L'Espace européen de la recherche: nouvelles perspectives" d'avril 2007.
Les 27 ministres européens de la Recherche ont lancé le "processus de Ljubljana" lors du conseil informel sur la compétitivité, à Brdo, en Slovénie, mardi 15 avril 2008. Ils souhaitent ainsi relancer la réalisation de l'EER (espace européen de la recherche), en définissant les prochaines étapes à franchir. Ils ont convenu de la nécessité d'un partenariat et de la responsabilité commune des États membres et de la Commission européenne.
"Favoriser en priorité l'excellence des chercheurs et leur mobilité ainsi que celle des autres acteurs essentiels de la RDI (Recherche, développement et innovation) entre les secteurs public et privé, ainsi qu'au sein de chacun d'entre eux": c'est l'une des trois grandes propositions formulées par les autorités françaises dans le cadre de leur contribution au Livre vert de la Commission européenne, "L'espace européen de la recherche: nouvelles perspectives" (L'AEF n°384041). Les deux autres recommandations sont les suivantes: intégrer clairement dans le périmètre de l'EER (Espace européen de la recherche) à la fois la recherche publique et la recherche des entreprises et construire une vision partagée de l'EER (évaluation, orientations stratégiques, prospective et expertise) pour définir, avec l'ensemble des acteurs concernés, des objectifs et un pilotage communs. Voici l'essentiel de cette contribution française.
Le partage des connaissances est la condition première de la réalisation de l'EER (Espace européen de la recherche). C'est une des conclusions tirée par la Commission européenne des 800 contributions envoyées, d’Europe et d’ailleurs, par des universités, des institutions de recherche, des entreprises, des organisations non gouvernementales et des particuliers dans le cadre d’une consultation publique sur l’avenir de l’Espace européen de la recherche (L'AEF n°384041).