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"D'un côté, les entreprises reprochent aux jeunes de ne pas savoir mettre en pratique leurs connaissances et de ne pas connaître le monde économique. Mais, question: comment le connaîtraient-ils? De l'autre côté, les jeunes reprochent aux entreprises d'exiger qu'ils soient déjà qualifiés avant toute expérience professionnelle. (...) On le voit, toutes les conditions d'une incompréhension totale sont bel et bien réunies." Tel est le constat que dresse Thibault Lanxade, président de l'association Positive Entreprise, dans son ouvrage "Jeunes & Entreprises: réussir la connexion", paru le mois dernier chez Editea.
L'ACFCI a signé trois accords-cadres de partenariat, dont l'un avec l'AJE (Association jeunesse entreprise) et l'autre avec l'association "100 000 entrepreneurs" à l'occasion d'un colloque intitulé "Des entreprises pour les jeunes, des jeunes pour les entreprises. Les CCI s'engagent" (L'AEF n°325066).
"Nous devons développer la mobilité des jeunes et leur ouverture à l'international", déclare Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports ce jeudi 7 février 2008 lors du colloque intitulé "Des jeunes pour les entreprises, des entreprises pour les jeunes. Les CCI s'engagent". La ministre veut "aller plus loin [que le programme Erasmus et ceux qui s'y rattachent] et permettre aux jeunes - nombreux - qui ne bénéficient pas des programmes Erasmus, de pouvoir partir à l'étranger avec l'aide des entreprises". Elle s' "apprête à soumettre au président de la République des propositions pour faciliter et développer cette mobilité".
"En finir avec une 'orientation sanction' ", "favoriser l'accès de tous à la formation" et "assurer une professionnalisation efficace et nécessaire" sont les pistes que présentera Jean-François Bernardin, président de l'ACFCI le 7 février 2008 lors d'un colloque intitulé "Des entreprises pour les jeunes, des jeunes pour les entreprises. Les CCI s'engagent". À cette occasion, l'ACFCI signera trois conventions avec l'AJE (Association jeunesse entreprise), avec le réseau des école de la deuxième chance (E2C) et avec l'association "100 000 entrepreneurs" pour développer l'esprit d'entreprendre chez les jeunes.
Sept ans après être sortis du système éducatif, les jeunes de la "génération 1998" "sont très présents sur le marché du travail: 95% sont actifs et 86% ont un emploi. Toutefois, si une majorité des jeunes se sont stabilisés en CDI depuis plus de quatre ans, 13% ont occupé un emploi de manière épisodique ou n'ont jamais accédé à l'emploi. Une même proportion (13%) s'est maintenue en emploi mais en gardant un statut temporaire (CDD, intérim, contrat aidé), observe le Céreq qui publie la synthèse de sa dernière vague d'enquête sur la "Génération 1998" intitulée: "Quand la carrière commence... les sept premières années de vie active de la génération 98".
En juin 2018, l’Anact lançait un appel à projets financés par le Fonds pour l’amélioration des conditions de travail (Fact) sur le maintien en emploi des personnes fragilisées par des problèmes de santé ou des situations de handicap. Quatre ans plus tard, l’Agence publie un "cahier" visant à capitaliser sur les expériences réalisées dans ce cadre. Les porteurs de projets, réunis à l’occasion d’un séminaire, y évoquent les actions menées et formulent des recommandations.