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Par trois arrêts du 5 septembre 2008, le Conseil d'État précise les conditions du contrôle de l'administration ainsi que le rôle du juge dans le contentieux de l'autorisation administrative de licenciement.
L'articulation entre l'intervention du juge administratif et du juge judiciaire dans le contentieux sur le licenciement des salariés protégés est analysée par Laurence Pécaut-Rivolier, conseillère référendaire à la chambre sociale de la Cour de cassation, et Yves Struillon, maître des requêtes au Conseil d'État, dans une analyse croisée publiée dans les numéros des 19 et 26 novembre 2007 de la Semaine sociale Lamy. Cette analyse fait suite à des deux arrêts de la chambre sociale de la Cour de cassation du 26 septembre 2007 qui seront publiés dans le rapport annuel de la Cour (L'AEF n°462561).
Trois arrêts de la cour administrative d'appel de Paris, rendus le 5 novembre 2007, rappellent l'importance du respect du principe du "contradictoire" dans la procédure de demande d'autorisation administrative préalable de licenciement d'un salarié protégé.
Si "la décision du juge administratif se prononçant sur les faits fautifs invoqués par l'employeur ayant retenu que ces faits, soit n'étaient pas établis, soit ne justifiaient pas la mesure de licenciement, celle-ci s'oppose à ce que le juge judiciaire, appréciant les mêmes faits, décide qu'ils conservent une cause réelle et sérieuse de licenciement", énonce la chambre sociale de la Cour de cassation dans un arrêt du 26 septembre 2007 qui sera mentionné dans le rapport annuel de la Cour.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :