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"La France a proposé la création d'un centre européen de recherche sur le changement climatique", annonce Valérie Pécresse, aujourd'hui, mardi 22 juillet 2008, lors d'une réunion informelle des ministres européens en charge de l'espace à Kourou (Guyane), dans le cadre de la présidence française de l'UE. Ce centre de recherche s'intégrerait dans le GMES (Global monitoring for environnement and security), programme spatial de l'UE qui œuvre à la mise en place d'une infrastructure de surveillance de la Terre, et bénéficierait de crédits européens. "Il faut prévoir d'exploiter les données récoltées grâce au programme. En Europe, nous avons un problème de centralisation, mais aussi de standardisation des données existantes. Il faudrait coordonner le réseau", explique la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Selon elle, les ministres européens en charge de l'espace opteraient plutôt pour un lieu de coordination qui ferait office de "tête de pont", telle qu'une infrastructure sur le climat déjà existante, plutôt que pour une nouvelle infrastructure européenne. La Commission est en train de mener une étude de faisabilité sur le sujet.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.